26 nov. 2009
l'envie
24 nov. 2009
Tristan et Iseut
Dans son enfance, tous se sont probablement fait raconter une histoire de princesse ou de prince charmant, et même que tous ont probablement déjà rêvé d’être un prince, une princesse ou même un chevalier modeste qui aimaient sauver les paysans en détresse. Ces merveilleux récits qui façonnent l’imagination, au point tel qu’il n’est impossible de sortir de ces rêves. On s’imagine dans les bras d’un certain prince, ou voudrait être autant belle qu’une certaine princesse et dormir éternellement jusqu’au moment ou, son prince vienne la réveiller comme la princesse au bois dormant. C’est récit tant fantastique que merveilleux nous font tellement rêver que parfois on se laisse trop glisser vers la tentation, puis soudainement, on se met a imaginer encore plus et on tombe sous le charme : coup de foudre apparaît. Cette personne, vous ne l’avez jamais vue, vous vous êtes rencontré là, par hasard. C’est ce qui m’apporte à Tristan et Iseut, deux êtres de la noblesse, qui n’était pourtant pas destiné à être ensemble. Ils sont complètement dépourvus, tous deux ont un vide, et chacun pense qu’il comprend l’autre, chacun est donc coupable à sa manière. Chacun en veut plus. Bref comme dans les contes de fées, le prince tombe amoureux de cette jolie fille qui deviendra princesse. mais cette fin n’est pas pareil. Rarement que l’on a pu constater une fin comme : « … et ils vécurent heureux pour la fin des temps. » si ce n’est que dans les contes. Voici que dans l’histoire de Tristan et Iseut, ce bonheur arrive. Les deux tomberont follement amoureux. Ce n’est par contre pas le prince qui tomba amoureux de cette princesse, mais ce valeureux guerrier envers sa reine. C’est ce coup de foudre qu’ils auront l’un pour l’autre. Malheureux et triste en soit, rarement sont ceux qui auront un certain coup de foudre pour une personne et que le tous sera réciproque. Un coup de foudre se qualifie comme une brûlure, mais cette douleur est merveilleuse, ce qui vous apporte à en demander plus.[1] C’est pourquoi Tristan et Iseut offrent une histoire palpitante, mais qui est à la fois décourageante. C’est dans ces prochaines pages que l’on découvrira un peu plus sur l’histoire qui pousse Tristan et Iseut à s’aimer et à ne plus vouloir se quitter.
Les origines de Tristan et Iseut
À Priori, il faut comprendre que le récit de Tristan et Iseut est un récit qui date de plusieurs siècles, même voir plusieurs milliers d’années. Ce récit provient de la période celtique[2]. Les celtes sont décrits par Strabon[3], Jules César et Diodore[4] comme un peuple qui aime festoyer, raconter des histoires et se vanter de ses exploits.[5] C’est ici que l’on peut comprendre le premier facteur qui fait en sorte que le récit se soit transmis jusqu’à nous. Les celtes se sont chanté l’histoire de Tristan et d’Iseut de génération en génération. C’est seulement au douzième siècle que Tristan et Iseut fut écrit, premièrement la version d’Eilhart d’Oberg dans les années1170, puis la version de Thomas aux alentour des années 1175. Finalement, Béroul écrit sa version dans les années 1180.[6] (Voir annexe 1) Ce récit est l’image même de deux personnes qui, sans faire exprès tombe fatadiquement amoureux l’un de l’autre, mais ils n’ont pas le même destin. Ceci est la reproduction exacte de plusieurs « histoires de cœurs » encore aujourd’hui au XXIe siècle. Cette histoire est archétypique. Dans toutes les sociétés du monde, il y aura au moin un cas comme celui de Tristan et d’Iseut; l’histoire de deux personnes de deux classes sociales différentes, l’histoire de la femme ou l’homme déjà marié, l’histoire de l’a personne qui est tombé sous le charme d’une personne d’autorité… Les cas sont présents. Ce récit représente pour beaucoup de gens, un récit qui est véritablement vécu et pour une fois ils se reconnaissent, ils peuvent se mettre à la place de Tristan ou d’Iseut ou même de Marc, ce roi qui essai de reconquérir sa douce par la vangence.
Résumé du récit
Comme on la vue précédament dans le texte, l’histoire de Tristan et d’Iseut est quelque peu fragmentée. L’histoire racontée dans ces prochaines pages sera principalement basée sur l’histoire d’Eilhart d’Oberg et de Béroul. L’histoire de Thomas étant caractérisé par beaucoup plus de fiction et de fantastique que les deux autres. Également, il n’est sans mentionner que certaines personnes prennent les trois versions. Si l’on enlève quelques scènes de Béroul et qu’on modifie de peu Thomas, on pourrait en faire un très grand récit. Mais pour les besoins de la cause, nous nous attarderons seulement au récit d’Eilhart d’Oberg et Béroul.
Le début du récit est caractérisé par le décès des parents de Tristan. Celui-ci sera pris sous charge par son oncle, le roi Marc. Le roi Marc est roi de Cornouaille, un pays Breton. Périodiquement, le roi Marc doit donner un tribut humain au roi d’Irlande. Un jour Tristan se tanna de ce tribut et décida d’affronter le géant Morhout (le frère de la reine d’Irlande). Le géant n’obtînt aucune chance dans se combat, par contre, Tristan fut blessé avec l’épée de Morhout. Il décide donc de prendre un bateau et se laisser-aller sur la mer, il ne pense pas survivre et il croit également être un fardeau pour le reste des personnes présentes. Tristan arrive donc en Irlande ou il sera soigné par Iseut et sa mère, après quoi, il retourna en Cournouailles.
Lorsqu’il arrive en Cournouailles, tout le monde est heureux, le roi Marc veut que Tristan soit son successeur, mais trois seigneurs de la cour du roi de Marc n’en veulent pas. Ils veulent que le roi Marc se marie avec une femme pour que leur progéniture soit l’hérité de Cornouaille. Et donc, le roi Marc voudrait une belle femme aux cheveux dorés. Tristan se rappelle d’Iseut et par pour la chercher en Irlande. Arrivé de l’autre côté, Tristan combat le dragon et repart avec Iseut.
Ils font un long voyage et durant ce voyage, Tristan et Iseut se trouvent à avoir soif. Il demande donc à Brangien de leur apporter un breuvage. Mais la servante se trompe et leur apporte le philtre d’amour que la mère d’Iseut avait préparé pour Iseut et le roi Marc.
[ Ici se termine la version d’Eilhart d’Oberg et commence la version de Béroul, on retrouve une faille entre les deux récits qui nous laisse supposer que le roi Marc et Iseut se sont marié et que Tristan et Iseut se côtoie assez souvent sans que le roi Marc s’en rendre conte. ]
Le récit de Béroul commence à un pin, ou les deux amants se rencontrent. Ce qui devait être un rendez-vous amoureux deviendra une rencontre d’explication devant le roi Marc. Iseut se rend conte durant le rendez-vous que le roi est présent dans un pin, et donc, Tristan prendra cette opportunité pour se justifier faussement devant lui. Le lendemain, le roi Marc accordera son pardon à Tristan. Le nain, Frocin n’étant pas convaincue de l’innocence de Tristan et d’Iseut, décida de monter un piège pour prendre le couple sur le fait. Il décida de mettre de la farine sur le sol. Lorsque Tristan se leva pour aller retrouver Iseut dans son lit, le roi Marc, les trois seigneurs et le nain retrouva Tristan dans le lit d’Iseut avec des pas dans la farine. Tristan et Iseut, les deux amants, seront appelés au buché. Mais Tristan, voyant une église, demande d’aller prier durant qu’on le transporte jusqu’au buché. Les personnes s’assurant de son transport acceptent. Il n’y a aucune fenêtre dans cette église, la seule étant située au-dessus d’une falaise… Et Tristan décida de sauter! Et s’évada! Personne ne pensait que quelqu’un aurait pu un jour survivre d’une chute de pareille hauteur.
Durant ce temps, Iseut recevait son procès, tous voulaient qu’elle soit jugée, mais le roi Marc ne voulant rien entendre, il voulait la brûler. Un lépreux s’avança alors et dit au roi Marc qu’avec les lépreux, elle recevrait sa véritable punition : Qui voudrait véritablement se tenir avec les lépreux? Le roi accepta donc.
Governal, l’écuyé et maître de Tristan retrouva celui-ci dans la forêt et ensemble, décida d’aller chercher Iseut. Ils la reprie du lépreux et tous les trois décidée d’aller dans la forêt du Morrois. Dans cette forêt Tristan et Iseut vont rencontrer l’ermite Ogrin, qui les conseils après avoir entendu leur histoire. Governal décide donc d’aller à la chasse et rencontre l’un des seigneurs qui voulait mettre au bûcher Tristan et Iseut. L’écuyer de Tristan était déterminé; il devait se venger, c’était la seule solution possible. Il coupa donc la tête à ce pauvre traître et l’apporta à Tristan comme preuve de sa mort.
Un jour, les amants s’endormirent ensemble, tout habillés. Tristan avait placé son épée entre lui et Iseut. Mais, durant leur sommeil, un paysan les surprit et décida d’aller avertir le roi Marc où se trouvaient les deux amants. Le roi Marc prit la décision d’y aller seul, voir comment les deux amants se portaient. Il ordonna que l’on ne le suive pas. Arrivé à la forêt de Morrois, lorsqu’il trouva les deux étendu sur le sol, couché l’un à côté de l’autre, mais qu’une épée les séparait. Il remplaça l’épée de Tristan par son épée, il échangea son anneau de mariage avec celui d’Iseut et lui laissa également une paire de gants qu’elle avait rapportés avec elle d’Irlande, le roi voulait que Tristan et Iseut se rendre conte qu’il était passé et qu’il s’en voulait. Il agissait ainsi, car l’impression d’avoir jugé faussement Tristan et Iseut encore une fois le faisait sentir coupable. Lorsque le couple se réveilla le lendemain, ils virent que l’épée avait été inter changée et que Iseut avait reçu sa paire de gants, mais également l’anneau que son mari avait échangé avec le sien. Soudainement, l’effet du philtre se dissipa. Cela faisait trois ans que Tristan et Iseut avaient bu le philtre d’amour. Trois ans que les deux amants ne pensaient plus vraiment à leur vie sociale, mais simplement à leur vie amoureuse. Ils décidèrent d’aller voir l’ermite Ogrin pour recevoir de l’aide de sa part. Celui-ci les conseilla d’écrire une lettre et de l’envoyer au roi Marc. À l’intérieur de la lettre, Tristan fait référence à son passé, mais également, il propose un certain futur. Il dit à son oncle qu’il est prêt à lui rendre Iseut, s’il peut le servir, son oncle, le roi Marc. Sinon, il ira dans un autre royaume, servir un autre roi, jusqu'à tant que le roi Marc accepte qu’il revienne et Tristan termine sa lettre comme suit; « [...] Ou bien je me réconcilie avec vous, ou bien je ramène la fille du roi en Irlande où je l’ai prise. Elle sera reine de son pays. »[7]
Le roi Marc accepte finalement l’offre qu’on lui fait; Iseut sera de retour dans son palais avec le roi, mais Tristan devra partir pour servir un autre royaume. « l’échange » d’Iseut à lieu et Tristan quitte. [Tristan restera à Cornouailles, il restera chez l’ermite Ogrin. Mais personne sauf Iseut, Governal et Brangien ne le sait.]
Lorsque Iseut sera de retour, les barons veulent encore se venger, il demande donc au roi si Iseut pourrai avoir un jugement pour qu’elle se justifie en ce qui concerne Tristan. Le roi Arthur qui est invité à cette justification. Lorsque Iseut sait la date de cet événement, elle demande à un messager de prévenir Tristan d’être là, de s’habiller en lépreux et de quêter. Au moment venu, la reine alla voir Tristan déguisé en lépreux, lui demanda d’être son anne pour traverser. Elle embarqua sur ces épaules et il la traversa pour aller sur la planche. Au moment de faire sa déclaration, Iseut dit n’avoir que fait l’amour avec deux personnes dans sa vie; le roi Marc, et le lépreux qui l’a transporté.
Les barons, ayant vu Tristan déguisé en lépreux annonça au roi Marc qu’ils étaient certains que Tristan allait revenir par l’ouverture qu’il y avait dans la chambre d’Iseut. Et donc, les deux traites se font un plan pour prendre Tristan. Tristan arriva et tua sans hésitation les deux barons restants.
Les Thèmes principaux
Dans le récit de Tristan et Iseut, on retrouve plusieurs thèmes principaux; l’amour, le déshonneur, mort et même la religion. C’est thèmes se développe durant tout le récit, et se concrétise avec les actes de Tristan et d’Iseut ou même avec ceux des barons et de roi Marc.
L’amour courtois, l’amour incontrôlable ou passion et l’amour blessé reflète les sortes d’amour représenté dans se récit. L’amour courtois désigne l’amour profond et véritable que l’on retrouve entre un prétendant, Tristan et sa dame, Iseut. Un amour hors mariage et qui ne pourra, même avec envies se concrétiser. C’est un amour hors mariage. L’amour incontrôlable ou même l’amour-passion est l’amour représenté par le philtre, les deux amants ont de la difficulté à contrôler leurs sentiments. Ont pourrait prendre exemple dans le récit, lorsque Tristan retrouve, Iseut dans son lit et qu’on les surprend. N'importe qui n’aurait pas sauté dans le lit de son amante si on avait su tous les risques. Et par la suite, on blâme le tout sur le philtre, c’est ce dernier qui nous rend aveugles. L’amour blessé, cette amour entre en relation avec Tristan et Iseut les blesse lorsqu’ils prennent connaissance de l’amour incontrôlable qu’ils ont. Lorsque les deux amants réalisent qu’ils blessent leur entourage et les forces à se cacher et même mourir peut à peut, tellement le philtre les à rendu amoureux.
Le déshonneur est interprété par Tristan et Iseut même si plusieurs pensent que les barons, les trois seigneurs, du roi Marc de sésonheur. Oui, les trois barons sont ceux qui veulent se venger, veulent voir Tristan et Iseut séparer. Mais si l’on y pense, Tristan et Iseut interprètent eux-mêmes le déshonneur soit en commettant l’adultère du point de vue d’Iseut avec le roi Marc et du déshonneur d’un chevalier ou même du neveu à son roi pour Tristan. Tandis que les trois barons voient aller les deux amoureux et sont son jaloux que le roi Marc ne les remarque pas, puisque l’on pourrait insinuer que si l’un des barons commettait une erreur il serait puni sur le champ. Tandis que le roi Marc protège, lorsqu’il ne voit point de preuve contre Tristan et Iseut, même que durant le récit, lorsque le roi Marc trouve les deux amants étendus l’un à coté de l’autre, l’épée au milieu, il ne croit toujours pas qu’ils sont coupables… C’est pourquoi que l’on retrouve du déshonneur chez Tristan et Iseut.
La mort pourrait être un thème principal si l’on prend la version de Thomas, les deux amants à la fin meurent, tellement que l’amour du philtre les rend UN. Dans le récit de Béroul, les deux amants sont prêts à faire face au bûché que de finir séparé. Si l’on regarde un peu du côté social, après trois ans le philtre ne fait plus effet et Tristan réalise qu’il pourrait être alentour d’une table avec le reste des chevaliers à place d’être caché dans la forêt. Iseut, tant qu’à elle réalise qu’elle pourrait être reine d’un royaume, mais qu’elle se retrouve avec un amant, dans une forêt perdu. Maintenant, on peut réaliser à quel point l’amour rend aveugle, à quel point on meurt, petit à petit en étant en amour avec l’autre, on essaie de lui faire plaisir, et parfois on oublie de penser à sois-même. Et même quelquefois, c’est le contraire. On ne connaît pas les attentes de l’autre, on se rend aveugle sans savoir exactement où l’on va, pourvu que l’autre soit en vue.
Pour terminer les thèmes principaux, on retrouve la religion, durant tout le récit on mentionne le mot « seigneur » et les personnages s’adressent souvent à Dieu. Même parfois dans le texte on fait référence à des fêtes religieuses, par exemple la pentecôte qui est une fête chrétienne. Elle survient sept semaines après Pâque. On pourrait même penser que le philtre est un élément dans l’histoire pour déculpabiliser les pêchés que Tristan et Iseut commettent.
Quête
Dans le récit de Tristan et d’Iseut, on retrouve deux quêtes. Chacune ne peut exister sans l’autre. La première étant l’amour absolut que recherche Tristan et Iseut l’un pour l’autre. La deuxième étant la vérité que le roi Marc recherche pour avoir l’amour véritable avec Iseut. La quête du roi Marc vient rendre difficiles et défaire la quête d’Iseut et de Tristan de leur amour absolue.
Les deux amants feront tout pour être ensemble et même à mentir sur la tête de Dieu. Ils vont aller jusqu’à tuer les barons… Ils pensent seulement à eux. Serons t’il puni par le roi Marc, qui lui cherche à savoir s’il peut leur faire confiance? Sauront-ils trouver leur quête?
Le roi Marc, quant à lui recherche la vérité qui le mènera vers son amour véritable envers Iseut. Lorsque le roi Marc est prêt à mettre Tristan et Iseut au bûcher, c’est surtout pour se venger de cette amour absolue qui ne peut avoir avec Iseut. Le roi Marc désire seulement la vérité et de ne pas les mettes au bûcher, il met fin à la quête de Tristan et d’Iseut qui est l’amour absolue. Si le roi Marc n’était pas dans l’histoire, la quête du roi n’existerait pas, et donc automatiquement la quête de Tristan et d’Iseut ne pourrait exister non plus. L’une dépend de l’autre. Les amants n’auraient pas de problème à vivre un amour absolu si le roi Marc n’était pas là. Et donc, il n’y aurait pas de récit à raconter.
Mise en intrigue
Le mythe de Tristan et d’Iseut s’annonce tout d’abord comme un mythe de héros. La présence de l’oncle qui protège l’enfance du héros qui saura se transformer en surhomme… et combattre le Morholt. L’ascension du héro est rapide. Puis, Tristan se fait donner des soins pas Iseut. Tomberont-ils amoureux? Et puis le philtre! Le philtre est l’intrigue principale. À partir de cette intrigue principale, plusieurs intrigues secondaires se développent. Une intrigue mène toujours à une autre intrigue. Tristan revient, mais finalement, le roi veut épouser Iseut, quaviendra t’il? Iseut sera-t-elle la future reine de Cornouaille et la femme du roi Marc ou tombera-t-elle amoureuse de Tristan? Quadviendra t’il des amants? Bref, le récit lui-même est une mise en intrigue qui façonne les personnes voulant savoir qu’est-ce qui va se passer.
Identité
L’identité se caractérise par le « je », le « tu » et le « il » à travers tout le récit. Le « je » représente Tristan, le « tu » représente Iseut et le « il » le roi Marc à travers des yeux de Tristan. Le nous pourrais également être représenté par Tristan et Iseut ensemble. Le mythe de Tristan et Iseut est donc un mythe du couple, le « toi » et le « moi » se réunis dans un bonheur sublime jusqu'à tant qu’il réalise le véritable effet du philtre. Bref, lorsque les deux amants réalisent que la potion n’a plus d’effet, ils se rendent compte que le « nous » est moins évident.
Le philtre!
Est-ce que le philtre représente quelque chose de concret dans ce récit ou est-ce simplement un breuvage ensorcellé? Comment peut-on expliquer que l’effet du philtre perdure seulement trois ans? Serait-ce possible que Tristan et Iseut subissent un coup de foudre qui est interprété par cette boisson? Ce moment magique qui comporte ses sentiments qui brûlent, ou nous restons frappés, emportés et ravis par le sentiment d’avoir trouvé… Comme dirait de Rougemont : « Ce sentiment est tellement fort, c’est comme nous resterions prisonnier d’un délire auprès duquel pâlisse toute sagesse. »[8] Mais il faut bien faire la différence entre coups de foudre qui dure seulement quelques jours, et énamourement qui est tout le processus. La différence entre les deux vient surtout du fait que le coup de foudre fait partie du processus de l’énamourement; « il y a un moment particulier, ou le changement advient. Comme si un interrupteur se déclenchait, comme si une lumière allumait, bref comme si un voile tombait. »[9] Pourrait-on véritablement na pas tomber en amour? Nous sommes tous un jour ou l’autre attirés par quelqu’un, que l’on trouve beau, intelligent, incroyable... Mais qu'est-ce qui nous attire tant chez l’autre personne? Comment devrions-nous réagir? Dans Tristan et Iseut, le philtre pourrait représenter une force surnaturelle, par exemple Dieu! Et c’est pourquoi, les pêchés qu’ils commette ne sont pas gravent, parce que pour accomplir c’est pêchés, il ont eu recours au philtre qui à été envoyé par Dieu! De nos jours, lorsque quelqu’un ressent des sentiments pour une autre personne, c’est parce que cette personne trouve que l’autre a certaines qualités qui lui plaisent. Elle voit en l’autre une manière d’être qui lui fait ressentir des papillons dans son ventre. Comment faire pour réaliser les défauts de cette personne si l’on reste attiré que par ce que l’on voit a priori, lorsqu’on est sous son charme? Quelques choses doit absolument influencer notre jugement, mais quoi alors?
Psychologie
C’est en psychologie que l’on découvre certaines facettes que d'autres n’auraient pas pu trouver. Docteur en neurosciences, Lucy Vincent explique pourquoi l’alchimie amoureuse ne reste que trois ans... Et pour certains un peu moins :
« C’est dû à la programmation génétique du comportement amoureux modifie l’activité dans certaines zones du cerveau. Ces zones vont peu à peu se désensibiliser, même si des mécanismes hormonaux, comme ceux de l’ocytocine, tempèrent le processus. Progressivement, l’activité du cerveau reprend son cours normal, débarrassée de l’excitation de la période amoureuse. »[10]
Donc, d’un coté psychologie et scientifique, Tristan et Iseut serais tombé dans une quelques sortes d’amour ou de coup de foudre, mais comme l’explique Mme Vincent, les amants sont moins amoureux qu’ils l’étaient avant... Par contre, ils sont toujours amoureux, mais pas jusqu’au point ou il faut mettre sa vie de coter pour l’autre. Tristan et Iseut, eux, se sont retirés dans la forêt. Tristan aurait bien pu être avec les autres chevaliers, et Iseut aurait pu être près de son mari, le roi Marc. Mais, comme on ne se rend pas compte souvent de cela, nous somme aveuglé par l’autre et prêt à faire cent détours pour être avec. C’est comme si tous tournaient alentour de cette personne. Et après ces trois années passées à être aveugle, nous nous rendons conte que le monde n’est pas limité à une personne... Mais que malgré notre ouverture, on peut toujours être sous le charme de la personne, mais que ce charme ne sera pas aussi grand, comme Tristan et Iseut, qui eux s’aiment a la folie, jusqu’au jour ou le philtre ne fait plus effet, les deux continueront de s’aimé, mais moins fort.
Science politique
Ce texte a été chanté pour la première fois durant la période celtique. Cette période était marquée du côté politique à la période féodale. La féodalité « repose sur les liens mutuels entre un seigneur et ses vassaux. Le seigneur, en échange d’aide militaire et d’autres services, attribue à son vassal un fief (un certain territoire), et aura une certaine autorité. »[11] L’égalité juridique n’existe pas, le tout est basé sur l’honneur qui est la principale motivation. On peut donc concevoir que si Tristan et Iseut avaient été jugés, les deux n’avaient plus d’honneur, et donc, le roi Marc aurait pu décider d’en faire ce qu’il voulait puisque c’est principalement lui qui avait le pouvoir. La féodalité naît avec l’aide l’Empire carolingien de tradition romaine et celui des communautés celtiques ou germaniques.[12] C’est ici que l’on remarque le l’honorable travail que les barons on fait pour leur suzerain, ils ont décidé de mettre l’honneur de leur État en avant du respect qu’il avait pour le neveu du roi!
Littérature
Le roman de Tristan et d’Iseut est a priori un poème chanté. Le roman de Tristan par Béroul est un octosyllabe à rime plate. ce qui veut dire que dans chaque vers, l’on retrouve huit syllabes qui ne riment pas. Aujourd’hui, les poèmes que l’on a du récit de Tristan sont quelque peu fragmentés. Mais celui de Béroul en compte 4485 vers. On peut remarquer un changement de registre au vers 2765, certains chercheurs penseraient que Béroul aurait deux auteurs. Ce récit a réussi à traverser le temps et se malgré le changement de thème, probablement du à son histoire qui touche tant l’aspect héro, l’aspect mythique, que l’aspect courtois. Par exemple : « L’amour est sans doute le thème dominant, presque exclusif, de la poésie courtoise dans la littérature, depuis le XIIe siècle, mais cet amour-là n’a rien à voir avec le mariage! L’amour courtois tel que celui chanté par les troubadours, se manifeste littéralement comme une adoration à l’égard d’une grande dame, le plus souvent inaccessible. Ou, il ne recherche ni la consommation, et encore moins le mariage. »[13] L’aspect héro serait lui ou Tristan affronte le dragon et le Morholt.
Tristan et Iseut tombèrent en amour durant la période celtique et leur récit nous est encore raconté aujourd’hui. On dit que l’être humain n’arrête pas d’évoluer. Avons-nous raison? Sommes-nous encore à ce point de départ à essayer de trouver ce qu’est véritablement notre identité pour aimer? Et ces récits fantastiques dans lesquels nous voudrions être pour ne pas nous faire du mal, dans lesquels tous est beaux et joyeux. Pourquoi ne peut-on pas simplement vivre sans que tous soient compliqués? Si les deux personnages du récit de Tristan et d’Iseut ont véritablement existé, pourraient-ils revenir le temps de leurs demander conseil. Bien qu’il était de loin les meilleurs amants du monde, ils ont su garder leur passion jusqu’à la fin.
Bibliographie
Livre principale
BÉROUL, Le roman de Tristan, Paris, Editions champion, 1982, 183 p.
Livres
ALBERONI, Francesco, Je t’aime, Milan, Plon, 1996, 318 p.
BADIE, Bertrand, et als., Dictionnaire de la science politique, Armand colin, Paris, 2005, 404 p.
BRÉMOND, J, Dictionnaire de la pensé politique - Hommes et idées, Paris, Hatier, 1989, 854 p.
DE ROUGEMONT, Denis, l’amour et l’occident, Paris, Plon, 1939, 301 p.
LALONDE, Michel, Comprendre la société, Québec, télé-université, 2001, 425 p.
MAURICE, Jean, Béroul - Tristan et Yseut, France, 2001, 213 p.
Sources électroniques
BOILLET, Jean-Philippe. Chronologie des évènements [En ligne], http://jboillet.club.fr /histoire1/chrono1.html (page consulté le 3 décembre 2008)
Encyclopédie Encarta, Celte, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn.com/encyclopedia_ 761563428/celtes.html (page consulté le 5 décembre 2008)
Encyclopédie Encarta, Diodore de Sicile, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn.com/ encyclopedia _761554005/Diodore_de_Sicile.html (page consulté le 5 décembre 2008))
Encyclopédie Encarta, Strabon, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn. com/encyclopedia _761563935/Strabon.html (page consulté le 5 décembre 2008)
UBERTI, Marie-Laure, Rencontre : les pièges du coup de foudre, http://www. psychologies.com/article.cfm/article/532/Rencontre-les-pieges-du-coup-de-foudre.htm (page consulté le 3 décembre 2008)
VINCENT, Lucy, « Pourquoi l’amour dure trois ans? » , [En ligne] http://www.le blogmariage.com/archive/2006/02/15/pourquoi-l-amour-dure-trois-ans.html (page consulté le 5 décembre 2008)
[1] UBERTI, Marie-Laure, Rencontre : les pièges du coup de foudre, http://www.psychologies.com/article. cfm/article/532/Rencontre-les-pieges-du-coup-de-foudre.htm (page consulté le 3 décembre 2008)
[2] Période qui commence vers les années - 1200 av. J. C. et qui se termine en l’an - 58 av. J. C. ( Source : BOILLET, Jean-Philippe. Chronologie des évènements [En ligne], http://jboillet.club.fr/histoire1 /chrono1.html (page consulté le 3 décembre 2008)
[3] Strabon (v. 58 av. J.-C.-v. 24 apr. J.-C.), géographe et historien grec, né à Amasya, dans le Pont (aujourd'hui en Turquie). (source : Encyclopédie Encarta, Strabon, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn. com/ encyclopedia_761563935/Strabon.html (page consulté le 5 décembre 2008))
[4] Diodore de Sicile (v. 90 av. J.-C.-21 av. J.-C.), historien grec. (sources : Encyclopédie Encarta, Diodore de Sicile, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn.com/encyclopedia_761554005/Diodore_de_Sicile.html (page consulté le 5 décembre 2008))
[5] Encyclopédie Encarta, Celte, [En ligne] http://fr.ca.encarta.msn.com/encyclopedia_761563428/ celtes.html (page consulté le 5 décembre 2008)
[6] MAURICE, Jean, Béroul - Tristan et Yseut, France, 2001, p. 24 et 25
[7] BÉROUL, Le roman de Tristan, Paris, Editions champion, 1982, p.119
[8] DE ROUGEMONT, Denis, l’amour et l’occident, Paris, Plon, 1939, p. 40
[9] ALBERONI, Francesco, Je t’aime, Milan, Plon, 1996, p. 41
[10] VINCENT, Lucy, « Pourquoi l’amour dure trois ans? » , [En ligne] http://www.leblogmariage.com/ archive/2006/02/15/pourquoi-l-amour-dure-trois-ans.html (page consulté le 5 décembre 2008)
[11] BRÉMOND, J, Dictionnaire de la pensé politique- Hommes et idées, Paris, Hatier, 1989, p. 281
[12] BADIE, Bertrand, et als., Dictionnaire de la science politique, Armand colin, Paris, 2005, p. 128
[13] LALONDE, Michel, Comprendre la société, Québec, télé-université, 2001, p.391
Le Ministère de la Défense nationale et des les Forces armées canadiennes
Le Canada[1] a été colonisé par la France en 1604 et ensuite à la suite de la bataille de 100 ans, le Canada a été perdu du coté de la France qui nous[2] avaient cédés à l’Angleterre en 1759. Au Bas-Canada, nous l’avons senti par plusieurs batailles, mais surtout celle avec Wolf et Montcalm sur les plaines d’Abraham. Cette bataille se résultat avec la victoire des anglais. Durant tous ses moments, nous avons étés défendu par ces pays. Les militaires du temps venait de nos pays colonisateurs. Il n’est par contre pas s’en mentionner, que le Canada avait également des hommes de bonne foi qui aidaient nos pays colonisateurs, mais le Canada n’a jamais eu d’armée à elle seul avant 1867, date à laquelle le Canada à acquis la responsabilité de sa défense nationale par sa constitution.. Par contre, « Avec un budget initial à 900 000$[3], le ministère de la milice et de la défense canadien nait officiellement en 1868» et l’armée britannique aura seulement quitté le Canada en 1871, à l’exception d’une fortification à Halifax. (Une certaines citadelle, du même style que celle de Québec mais légèrement plus petite.) Le Canada devait maintenant, à lui seul, défendre le pays. La milice permanente active (celle qui travail à plein temps) aura environs 37 170 volontaires[4]. De plus, les responsables feront une liste de la milice non-active. (Cette liste comprend les noms des personnes qui seraient prêt à servir en cas de besoin, mais qui occupent d’autres métiers.)
Avant 1968, les Forces canadienne connaissent trois armes complètement différent et séparé; l’armé de terre, l’armé de l’air et la marine. Ce n’ai qu’en 1968 que l’on décide de faire une unification, les uniformes, les grades qui jusqu’à maintenant était celle que l’armé britannique que l’on utilisait serons changé pour celle canadienne… Bien sur, il y aura eu quelques réformes après 1968, mais rien de majeur.
La Défense nationale est une unité qui défend et sert l’État. Défense qui veut dire action de se défendre[5] et nationale qui veulent dire de relever d’un état[6]. C’est deux mots placés ensemble veut dire l’action de protéger l’État. Notre unité de défense est les Forces armés canadienne, ou FC souvent utilisé comme abréviation. Le Canada compte environs 62 000 membres de la Force régulière, 25 000 membres de la Réserve, 20 000 employés civile (chauffeurs, chercheurs scientifiques, ingénieurs, concierges, etc.) et environs 3500 rangers canadiens.[7]/[8]/[9] Il ne faut tous de même pas oublier les 20 000 fonctionnaires[10] qui travaillent au sein du ministère de la Défense nationale.
Les rôles principaux des Forces canadienne sont de protéger le Canada et de défendre sa souveraineté. Le Canada aide également son plus grand allié du sud les États-Unis d’Amérique à protégé leur territoire avec des organisations mutuel, comme le commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD). Bien entendu, plusieurs autres accords entre ces deux pays existent. Également le Canada fait partie de l’OTAN et de l’ONU.
Les forces armées canadiennes on pour objectif les « 3D » : défense, effort de diplomatie et développement. Mis ensemble, si une crise, un conflit ou simplement lorsque le Canada intervient, les Forces canadiennes mettront en pratique les « 3D ».
Les forces canadiennes on comme commandant en chef le gouverneur général du Canada. Présentement, son excellence est la 27eme GG[11]. Les gouverneurs généraux qui se sont précédés et même encore aujourd’hui jouissent un rôle indirect au sein des Forces armées canadienne. Ils ont tous été le commandant en chefs des Forces armée Canadiennes. Le gouverneur général du Canada est principalement une image au sein des forces armée canadienne, ces seul fonctions étant d’accueillir les militaires de retour d’une mission, visiter les bases militaires, se présenter à quelques cérémonies et finalement le GG est chancelier et l’un des commandeurs de l’ordre du mérite militaire.[12]/[13]
Avant de débuter cette analyse, il serait important de mentionner que l’information au ministère de la défense nationale pour un simple projet universitaire n’est pas facile d’accès. Les idées présentées sont quelques hypothèses qui tiennent sur des véritables faits. Il se peut donc qu’une erreur se soit glissée, si tel est le cas, ceci est mon erreur et j’en assume la pleine responsabilité.
Pour débuter, commençons par parler de politique. Tout au sommet de la hiérarchie se trouve, comme dans tous pays, un premier ministre qui est à la tête des ministères. Le Premier ministre prend les décisions finale en se qui attrait aux décisions importantes de la Défense national canadienne. Ensuite, sous son commandement se trouve à la même égalité le ministre de la défense nationale et le général des forces armées canadiennes. Nous commencerons par analyser la branche du ministre avant celle du général et du reste des forces armées. La branche du ministre est principalement la même dans les autres ministères. Le ministre est composé de conseiller, qui l’aide à prendre certaines décisions. Ces conseillers sont en relation constante avec le général et le sous-ministre pour les aider au meilleur fonctionnement du ministère. Il faut dire que le ministre est plus responsable du milieu politique, tandis que le général sera beaucoup plus responsable des missions et du bon déroulement de ceux-ci sur le terrain. Ceci est certainement dû au fait que le général est beaucoup plus au courant des dossiers qui sont en cours que le ministre. Le général est la pour plusieurs années tandis que le ministre est la pour souvent quatre ans maximum. Rarement sont les fois qu’il excède ce nombre d’années. Par contre, ce qui ne sera jamais contredis, est le fait qu’ils agissent ensemble, le général et le ministre, pour le bon fonctionnement de la défense et des forces armées canadienne. Donc le ministre a principalement comme tâche la gestion des Forces armées canadiennes dans son ensemble. « Plus particulièrement, le ministre est chargé d'élaborer et d'articuler la politique de défense du Canada. » [14]
Après le ministre vient le poste de sous-ministre, à qui son poste diffère de quelques peut du ministre. Premièrement, le sous-ministre n’est pas de la Chambre des communes ou du Sénat, il est nommé par un greffier. C’est fonctions son principalement de remplacer le ministre lorsque celui-ci ne peut occuper ces fonction ou est indisponible. De s’occupé des finance du ministère, diriger les employé civile du ministère et finalement s’occuper de la politique retenue par le ministère.
Suite au sous-ministre dans la chaîne hiérarchique se trouve, le sous-ministre délégué, qui parfois remplace le sous-ministre. Ensuite on découle avec le secrétaire parlementaire du ministre de la défense national et finalement on en arrive aux sous-ministres adjoints. Au ministère de la Défense national, nous retrouvons huit sous-ministres adjoints et un ombudsman des Forces canadiennes. Chacun à un rôle particulier. Donc huit sous-ministres adjoints pour huit départements au sein du ministère : infrastructure et environnement, affaires publiques, matériel, finances et services du ministère, ressources humaines – civils, gestion de l'information, politique et finalement science et technologie et le chef de la direction de R & D pour la défense Canada. Et de chaque « département » découle une autre hiérarchie. Le seul mise à notre disposition que nous avons pu vous donner comme exemple présentement serait celle du sous-ministre adjoint de la politique. Trois directeurs sont reliés au sous-ministre adjoint de la politique; directeur général des coordinations des politiques, donc se dernier assure la liaison avec le cabinet, des affaires parlementaires et de la politique officielle. Le second directeur général est celui de la conception de la politique de défense. Il décide donc des politiques sur le contrôle des armements et le la prolifération, l’élaboration des politique et finalement la politique officielle. Le dernier directeur général s’occupe tant qu’à lui a la politique de sécurité international, par exemple, la politique avec l’Asie et le Pacifique, les programme d’aide à l’instruction militaire, la politique de l’OTAN, politique du maintien de la paix et dernièrement, la politique de l’hémisphère occidental. Vous avez donc une idée de la hiérarchie du coté politique sous le ministre de la défense national! On parle plus de financement et de politique, ce n’est pas du côté politique que l’on décidera quel tactique utilisé, ou a quel mission nous allons participer ou encore mieux, combien d’homme il nous faudra pour déjoué l’ennemi…
Maintenant que nous avons vue la hiérarchie du côté politique, attardons-nous à la hiérarchie du côté des Forces armées canadiennes. Plus haut, nous mentionnions que le général des forces armées canadiennes qui est le chef d’État major de la Défense nationale[15] est au même pied destalle que ministre de la défense nationale. Et de chacun découlait un chaîne hiérarchique, et bien voilà qu’à la suite du général, nous retrouvons Sous-chef d’État Major des forces canadienne et l’adjudant chef des forces canadienne qui tous les trois font partie du Quartier général des Forces armées canadiennes. Le général des forces armées canadiennes à comme mission de conseiller le parlement sur des enjeux militaire ou d’opération de paix. « Le chef d’État major de la Défense nationale est chargé du déroulement des opérations militaires et de l'état de préparation des Forces canadiennes en ce qui à trait à l'exécution des tâches que le Parlement attribue au ministère de la défense. Le chef d’État major de la Défense nationale publie tous les ordres et instructions destinés aux Forces canadiennes, et il a la responsabilité de toutes les questions concernant le personnel. »[16] Donc comme mentionner plus haut, après la chef de l’état major de la Défense se trouve deux personnes qui font tous deux partie du Quartier Général des Forces armées canadiennes avec les général des forces armée canadienne.
Le COMFOSCAN, soit le Commandement des opérations spéciales du Canada, découle directement du Sous-chef d’État Major des forces Canadienne. Cette unité est vraiment important puisqu’elle est déployable très rapidement. Elle permet de d’améliorer les situations le plus vite possible en mélangeant les forces de l’armé de terre, de la marine et de l’aviation pour créé un beau mélange de forces.[17] Du COMFOSCAN découle quatre unités séparées. Soit la Foi 2 (Deuxième force opérationnelle interarmées) qui à été formé en 1993 pour des opérations anti-terroristes qu’assurais la GRC auparavant. En 2001, la Foi2 à fait son apparition au sein de la coalition internationale des forces d'opérations spéciales en Afghanistan. La Foi 2 est une unité de très haute importance au Canada.[18]
Le 427 EOSA, est également une unité qui découle du COMFOSCAN. L’escadron d’opérations spéciales d’aviation est toujours prêt à intervenir. Le 427 EOSA ont 18 hélicoptères CH-146 Griffon qui servent à faire des transports de personne et d’équipement, des évacuations aéromédicales pour les Forces armées canadiennes a l’étranger mais également au pays. [19]
La UIIC, soit les incidents chimiques, biologiques, radiologiques, et nucléaires. Bref, cette unité n’à pas droit à l’erreur, elle est la plus avancé au Canada en terme d’équipe d’intervention au niveau de produit chimique.[20]
Finalement, la dernière unité à découler du COMFOSCAN est le régiment d’opération spéciale du Canada. (ROSC) Celui-ci est extrêmement important, il fait partie des mieux entrainé au monde. Ce régiment d’environ 800 hommes/femmes content parmi les mieux entrainés du monde. « Les membres de notre personnel sont des « professionnels posés » pour qui la protection des Canadiens passe avant la leur et qui n’agissent pas par bravade. » selon le Lieutenant-colonel Jamie Hammond.[21]
Donc nous avons vue que le COMFOSCAN relève du sous-chef d’État Major des forces canadiennes, Maintenant voyons le reste des unités qui relève du Quartier général des Forces canadiennes. D’un côté, nous avons quatre autres unités spéciales que nous verrons un peu plus loin. Mais tous d’abord, commençons par les trois armes.
Commençons par l’arme de terre, qui consiste principalement à l’infantrie, blindé, génie, transmission, artillerie et force de logistique... L’armé de terre constitue de 19 500 réguliers et à 15 500 réservistes.[22] L’armée de terre est divisée en 6 divisions sur le territoire canadien : Secteur du Québec de la Forces Terreste (SQFT), CÉMAT, le secteur de l'Atlantique de la Force Terrestre (SAFT), le système de la doctrine et de l'instruction de la Force Terrestre (SDIFC), le secteur centre des forces terrestre (SCFT) et finalement le secteur ouest des forces terrestre (SOFT). Et de chaque divisions découle un autres chaîne hiérarchique qui n’est pas accessible au publique.
L’arme de la marine contient 9500 personnes des forces régulières, 4 000 des réservistes et finalement 3 700 civiles. Les objectifs des forces de la marine sont principalement de la surveillance côtière, recherche et sauvetage, application de la loi, protection des zones de pêche, réapprovisionnement en mer et support médical. Encore la, le secteur maritime est divisé en plusieurs divisions qui ne sont pas accessible au publique.[23]
La troisième et dernière arme est celle de l’aérien. Elle contient 12 500 personnes de la force régulière, 2 300 réservistes et finalement 2 400 civils.[24] La force aérienne aide lors de certaines opérations.
Ensuites, il nous vient à parler des quatre autres unités connu qui son sous le commandement de l’État Major. C’est à savoir, le Commandement de la force expéditionnaire du Canada (COMFEC), Commandement Canada (COMCANADA), Commandement du soutient opérationel du Canada (COMSOCAN) et finalement l’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes (ASPFC).
Premièrement, le Commandement de la force expéditionnaire du Canada (COMFEC) est responsable des missions à l’international, tant de la planification, aux préparatifs qu’à l’exécution et au repatriment. Par exemple, la Bosnie, l’Aghanistan, Kosovo0, pour n’en nommée que trois. Le COMFEC réuni les trois armes ensemble. On comprend donc que l’on met les « bouchées triple » et on essai d’utiliser toute les ressources possible pour protèger les frontières du Canada. Le COMFEC est divisé en trois. Premièrement nous avons la Force opérationel permanente de contingente (FOPC), qui agit en premier lieu. Elle peut se déployer en 10 jours, tous les armes y metterons du sien pour arriver à l’objectif de l’opération. Ensuite nous avons la Force opérationnelle adapté à la mission (FOAM), une deuxième sorte de vague, qui vient surtout améliorer la première mission et l’adapter. Et finalement, la troisième division du COMFEC est l’Équipe d’intervention en cas de catastrophe (DART), Celle-ci est spéciale, jusqu’à récament, lorsqu’il y avait un désastre naturel ou une aide urgente humanitaire, le DART intervenait. Il aportais tous les besoins nécessaire et pouvait être déploiyé avec un cours préavis. Par exemple, lors du tremblement de terre de la Turquie en 1999. Dernièrement, le DART a été remplacé par une autre division. Par contre, cette divisioin n’est pas encore accesible au publique.[25]
Le Commandement Canada (COMCANADA) s’occuque principalement de la forces opérationnelle à l’interieur du Canada. Il faut apprendre à se concentrer sur le Canada d’abord, et donc, le COMCANADA se concentre sur les secours en cas de catastrophe, surveillance et protection du territoire, surveillance aérien et cotier, soutien des opérations anti-drogue du gouvernement fédéral et beacoup plus d’opérations qui ne sont pas toujours accessible au publique. Le COMCANADA contient six divisions. Ces divisions son principalement le territoire canadien qui à été divisé en six. La Force opérationnelle interarmée Pacifique, la Force opérationnelle interarmée Ouest, Centre, Est, Atlantique et finalement Nord.
Le Commandement du soutientopérationnel du Canada (COMSOCAN) assurent un soutient constant aux opérations tant au Canada qu’à l’étranger. Un soutient comme par exemple, de logistique, le génie, service de santé et la police militaire.[26]
La dernière unité est l’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes. Celle-ci contient principalement du personnel civil. Nousretrouverons trois divisions au sein de cette unité. Premièrement le Programme de soutien du personnel (PSP) : Celui-ci contient plusieurs programmes, par exemple, les centre de ressources pour les familles militaires qui apporte beaucoup aux familles (service de garde, soutient moral…) Égelement, il contient tous ce qui est conditionnement physique, donc les centres sprotif à l’interieur des bases militaires ou les familles ont acces avec des cartes spéciales. Le PSP contient beaucoup d’autre programmes qui à une plus grande envergure que ce que l’on pense véritablement. Une autre division serait le CANEX, qui est une sorte de magasin de tails et d’alimentation. On retrouve toujours un CANEX sur la base militaire. La troisième division est le service financier (SISP/RARM) qui est un service finacier qui offre au militaire un service de régime d’assurance vie et d’assurance invalidité, une planification finacière, du conselling finacier, et plusiers d’autres services y sont offert.
Dans les Forces armées canadiennes, tous les militaires n’ont pas tous le même rang. Premièrement il faut mentionner que la marine on leur propre grade comparativement l’aviation et l’armée de terre qui on les-mêmes. Nous vous invitons à consulté l’annexe 2 pour voir les grades. Selon la chaîne hierarchique, toute personne qui commence sera soit soldat recru ou matelot de 3e classe. Seul qui ont une formation plus avancé commencerons officier, par contre cela dépend de beaucoup. Premièrement on doit passer des testes, des formations, et c’est compliqué. Par contre, seulement vous faire remarquer la chaîne hierarchique des grades. Si un sergent à un problème, par exemple, il ne peut pas aller voir un Adjudant-chef, il va devoir respecter la chaîne.
Maintenant que nous avons vue a quoi ressemblais la hierarchie, tant du coté des Forces armées canadiennes que le ministère de la défense, il nous est possible de faire de lien entre les projets ou les opérations qui son en fonction si l’on regarde de plus près. Par exemple, si une catastrophe se produit, le premier ministre contactera le général pour voir combien d’effectif y peut y mettre. Le général, étant plus renseigné que le ministre pourra alors lui répondre et descendra la chaîne de commandement pour que la bonne unité se prépare. Dans le cas d’une catastrophe, il serait la responsabilité du DART. Par contre, la demande de préparatif devra passer par le Quartier générale des Forces armées, ensuites par le Commandement de la force expéditionnaire du Canada, qui elle contactera l’équipe d’intervention en cas de catastrophe. Ensuite les informations de préparatif et le nombre de militaire qui seront déployé remonte la chaîne. Rendu au général il contactera le sous-ministre ou le ministre pour lui dire, et de la le général s’adressera au média tandis que le ministre l’annoncera au parlement. On pourrait prendre une autre sorte de situation, par exemple des jeunes qui se sont perdu en forest au Nouveau-Brunswick. On contactera alors le général qui lui décendra au Commandement Canada et la Force opérationnelle interarmées Atlantique mettera sur pied un sauvetage. On commence par contre à se posser des questions pour savoir qui à le dernier mot avec les missions. Surtout depuis la mission canadienne en Afghanistan. Certaine personne ne se demande qui donne les ordres, le parlement ou le général. Il faut bien mentionner que le général recoit ces ordre du Premier ministre. Par contre, lorsqu’il est temps de prendre une descision, le Premier ministre, même si c’est lui qui a le dernier mot, demandera quand même conseil au Général des Forces armée canadienne puisqu’il est égelement les plus importants conseillers des FC. Il est au courant de tous les dossiers, connaît le milieu puisqu’il y travail depuis le début de ca carrière. Le Premier ministre nira pas demander conseil au ministre de la Défense dû au fait que le ministre n’a pas toujours les compétences pour être ministre de la Défense. « Le ministre est au parlement à ce que le général est dans le champs! Le bon champ d’entrainement faut t’il mentionner. »
Lorsque le ministère de la Défense nationale doit échanger avec un autre ministère, le tous va passer par le sous-ministre et par le ministre des autres ministères, mais ceci est également vrai à la Défense national. Tous dossiers qui sont en provenance du parlement qui doit se rendre au général vont passer par le ministre et/ou le sous-ministre, dépendamment des dossiers. Comme mentionné plus haut. Le ministre et le sous-ministre on comme fonction la politique au parlement. Le général à comme fonction de s’assurer de se tenir au courant des dossiers militaires. Le premier ministre se conseil auprès du général. Le général s’occupe de ses militaires et ne touche point à la politque.
En ce qui concerne les relations avec l’ONU et l’OTAN, le tous est la responsabilité du sous-ministre adjoint de politique de faire un contact avec les représentants de l’ONU et de l’OTAN. Ensuite, la mesure prise ou la décision prise remontera jusqu’au ministre qui informera le général. C’est ce qu’on appelle de la bureaucratie!! Par contre, en cas d’urgence national ou même international, on tentera de mettre le général sur la même ligne que les représentants de l’ONU ou l’OTAN.
Nous avons vue tous au long de la recherche que le générale avait la même influence sinon plus que le ministre de la défense national aux yeux du Premier ministre. Le général est plus au courants des derniers développements des dossiers que le ministre du à la chaîne hiérarchique. Également le general connait les forces armées canadienne plus que le ministre du au fait que le ministre sera à a tête du ministère seulement pour quatre ans. Tandis que le général aura œuvré toute sa carrière au sein des Forces armées canadienne. Nous pouvons donc conclure que le général des Forces armées canadiennes à autant d’influence aux yeux du Premier ministre même s’il n’est pas élu.
Bibliographie
Livre
BERNIER, Serge, le patrimoine militaire canadien, d’hier à aujourd’hui tome III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, 251p.
Défense national, Dégense national Rappor sur les plans et prioribés 2001-2002, Ottawa, 2002 40 p.
Défense national, Onjectif défini le concept d’emploi de l’armée de terre Ottawa, 2004, 52 p.
Sites Web
Défense nationale et forces armées canadienne, À notre sujet, http://www.forces.gc.ca/site/about/index_f.asp, dernière modification 16 aout 2007, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la défense nationale, Commandement des forces d’opération spéciales du Canada, http://www.comfoscan.forces.gc.ca/fr/background_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère des forces armées canadiennes, Commandement de la force expéditionnaire du Canada, http://www.cefcom.forces.gc.ca/site/home_f.asp, dernière modification1 avril 2008, date de consultation lunidi 1er avril 2008
Ministère des forces armées canadiennes, Commandement du soutient opérationnel du Canada, http://www.comsocan.forces.gc.ca/fr/index_f. asp, dernière modification1 aout 2006, date de consultation lunidi 1er avril 2008
Ministère de la défense nationale, Deuxième forces opérationnelle interarmées, http://www.foi2.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 11 janvier 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du Chef d'état-major de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du ministre de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la défense du Canada, Régiment d’opération spéciale du Canada, http://www.rosc.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 21 septembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale, renseignements généraux, http://www.comfoscan. forces.gc.ca /fr/cjiruinfo_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale du Canada, Une armée, http://www.army.forces.gc.ca/lf/Francais/1_1_1.asp, dernière modification 28 mars 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale, 1re Escadre KINGSTON : Escadrons et unités, http://www.airforce.forces.gc.ca/1wing/squadron /427_f.asp, dernière modification 13 juin 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, C.C., C.M.M., C.O.M., C.D., http://www.forces.gc.ca/site/Governor_General/index_f.asp, dernière modification 3 juillet 2007, Date de consultation lundi 24 mars 2008
[1] En 1604, le Canada n’a pas toujours été appelle ainsi. On retrouvait : « the province of Québec », le Haut et le Bas- Canada, et le Canada-Uni. Pour facilité et allégé le texte, nous ferons mention de Canadien tous temps.
[2] Peuple canadiens
[3] BERNIER, Serge, le patrimoine militaire canadien, d’hier à aujourd’hui tome III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, p. 16
[4] Ibid., p.16
[5] Antidote 2006
[6] Ibid.
[7] Rangers canadiens: « milice autochtone » (population nordique) Utilisé comme milice et expert de terrain dans les 3 territoires canadiens (Territoires du Nord-Ouest, Yukon, Nunavut)
[8] Chiffres pris du site web de la Défense nationale du Canada : Défense nationale et forces armées canadienne, À notre sujet, http://www.forces.gc.ca/site/about/index_f.asp, dernière modification 16 aout 2007, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[9] Réserve : militaire qui travail seulement à temps partiel... quelques cas peuvent faire sujet d’exception
[10] Chiffres pris du site web de la Défense national du Canada : Défense nationale et forces armées canadienne, Combien y a-t-il d'effectifs militaires et civils au sein du MDN et des FC?, http://www.forces. gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[11] GG : diminutif de gouverneur générale souvent utilisé.
[12] Information prise sur la page web de a GG : Son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, C.C., C.M.M., C.O.M., C.D., http://www.forces.gc.ca/site/Governor_General/index_f.asp, dernière modification 3 juillet 2007, Date de consultation lundi 24 mars 2008
[13] L’ordre du mérite militaire: L’Ordre du mérite militaire reconnaît les services exceptionnels de Canadiens et Canadiennes qui, dans l’exercice de leurs fonctions au sein des Forces armées régulières et de réserve, ont fait preuve d'un dévouement et d'une assiduité bien au-delà de ce que le devoir leur commandait. (Explication pris de ce site : http://www.gg.ca/honours/nat-ord/omm/index_f.asp)
[14] Information prise : Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du ministre de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[15] Les trois formulations signifie la même personne -» le général des forces armées canadiennes / le chef d’État major de la Défense nationale / CEMD
[16] Information prise : Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du Chef d'état-major de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[17] Ministère de la défense nationale, Commandement des forces d’opération spéciales du Canada, http://www.comfoscan.forces.gc.ca/fr/background_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[18] Ministère de la défense nationale, Deuxième forces opérationnelle interarmées, http://www.foi2.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 11 janvier 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[19] Ministère de la défense nationale, 1re Escadre KINGSTON : Escadrons et unités, http://www.airforce.forces.gc.ca/1wing/squadron /427_f.asp, dernière modification 13 juin 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[20] Ministère de la défense nationale, renseignements généraux, http://www.comfoscan.forces.gc.ca /fr/cjiruinfo_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[21] Ministère de la défense du Canada, Régiment d’opération spéciale du Canada, http://www.rosc.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 21 septembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[22] Ministère de la défense nationale du Canada, Une armée, http://www.army.forces.gc.ca /lf/Francais/1_1_1.asp, dernière modification 28 mars 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[23] Wikipédia, Forces canadiennes, http://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_canadiennes#Commandement _maritime_.28MARCOM.29, dernière modification 31 mars 2008, date de consultation lundi le 1er avril 2008
[24] Ministère des forces armées canadiennes, effectif de la force aérienne, http://www.airforce.forces.gc. ca/site/purpose/today5_f.asp, dernière modification 22 septembre 2006, date de consultation lundi 1er avril 2008
[25] Ministère des forces armées canadiennes, COMFEC, http://www.cefcom.forces.gc.ca/site/home_f.asp, dernière modification1 avril 2008, date de consultation lundi 1er avril 2008
[26] Ministère des forces armées canadiennes, COMSOCAN, http://www.comsocan.forces.gc.ca/fr/index_f. asp, dernière modification1 aout 2006, date de consultation lundi 1er avril 2008
Les femmes au sein des forces arnées canadiennes
Les femmes durand trop longtemps ont été sous-estimées, infériorisées et même aujourd’hui nous pourrions dire qu’elles le sont encore d’une certaine manière. Mais depuis peu, la société s’est modernisée et les femmes on prit plus de place. Même au sein de l’armée canadienne durant la Guerre des Boers et les deux Grandes Guerres les femmes étaient présentes. Notre intention dans cette recherche, sera donc de vérifier si la femme est traitée différemment au sein de l’armée canadienne de nos jours et ensuite nous analyserons les faits avec d’autres pays.
Les femmes n’ont pas toujours été acceptées au sein de l’armée canadienne. Heureusement, un grand cheminement s’est fait. Au tous début, dans les années 1880, les femmes n’avaient pas assez d’autonomie pour sérieusement rentré dans les forces armées. Et non, on leur accordait plus une importance d’infirmières, qui était souvent mal payées, mais on leur disait qu’elles servaient bien leur pays. Cela les composaient d’une certaine manière, avoir le sens du devoir accompli. Le premier groupe de femmes infirmières à travailler était dans les années 1885, durant la révolution de Riel au Manitoba. Loretta Miller, infirmière-chef à l’Hopital général de Winnipeg, fut demandé de partir pour la Saskatoon pour pouvoir prendre en charge l’hôpital de campagne que l’on avait envoyée pour soigner les blessés. Bientôt, plus de onze autres infirmières arrivèrent pour l’aider et après la guerre on les remercia tous, disant qu’elle avait fait un merveilleux travail.[1] À vrai dire, les femmes ont eu l’accès aux Forces armées canadiennes en tant qu’infirmières militaires seulement en 1906. Durant la Première Guerre mondiale, on envoya des télégrammes pour pouvoir avoir le plus de femmes pour s’enrôler. « Pour une jeune femme célibataire, la guerre offrait une chance unique de gagner un salaire relativement convenable de quitter le milieu familial et de connaître du pays. L’aventure et le goût de l’action, voilà ce qui attirait le plus les anciennes militaires de la Première Guerre mondiale. »[2] Également, les femmes « commencent à s'initier au maniement des armes légères, à la drill, aux premiers soins et à l'entretien des véhicules, au cas où leurs services seraient requis au pays. » [3] Tandis qu’on envoya des femmes outre-mer pour prodiguer des soins à nos beaux et vaillants militaires. En tous, plus de 2 800[4] femmes ont participé à la Première Guerre mondiale et quarante-trois sont décédées durant leurs fonctions.[5] Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elles seront plus de 5 000 à travailler au sein du Corps médical de l’armée canadienne. De même, c’est en 1941 que les femmes peuvent occuper un autre poste dans les Forces armées canadiennes qu’infirmière, commis, cuisinière, chauffeur et téléphoniste. Durant la Deuxième Guerre mondiale, elles seront soixante et onze est décédée durant leur service. Par contre, durant la Deuxième Guerre, il y eut beaucoup de développement, en 1941, elles peuvent maintenant être mécaniciennes, arrimeuses de parachute et conductrices d’équipement lourd.[6] Plus de 45 000 femmes vont participé à la deuxième guerre mondiale.[7] En 1970, une Commission Royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada propose quelques modifications en faveur des femmes au sein des Forces armées canadiennes. En 1979, les collèges militaires permettent l’admission de femmes au sein de leurs instituts. La force aérienne a été la première, en 1982, à permettre l’ouverture de tous postes à une femme. On décide d’ouvrir toutes les postes, à l’exception des postes à bord des sous-marins et des aumôniers[8], aux femmes en 1989. Durant les deux dernières décennies, les Forces armées canadiennes n’ont pas arrêté d’évoluer, et encore aujourd’hui, nous pouvons apercevoir un changement constant de l’attitude qu’elles entreprennent à travers certaines missions.[9]
Pourquoi une femme devrait-elle être dans les forces armées canadiennes? Ou pourquoi ne devraient-elles pas l’être? Devraient-elles accomplir certains postes plus que d’autres? Les femmes sont-elles respectées au sein des Forces armées? Les hommes, eux en pensent quoi? Et le statue de la femme lui, évolue t’il encore dans l’armée? Voici des questions que plusieurs personnes se posent. Dans la société d’aujourd’hui, nous apercevons encore une mince différence entre l’homme et la femme de tous côtés. Certaines femmes sont même prêtes à donner comme excuse qu’elles sont des femmes et qu’elles ne peuvent pas accomplir certaines tâches. Malheureusement, encore aujourd’hui, l’homme fait également mention à cette affirmation.
Nous avons donc décidé de faire un questionnaire de cinq questions ou l’on a demandé à quelques militaires, de tous rangs et de toute fonction, de le remplir. Certains on refusés, disant que certaines lois militaires l’interdisaient se questionnaires et qu’il devait passer par le ministère de la Défense national à Ottawa si l‘on voulait qu’ils le répondre. D’autres l’ont rempli avec plaisir. Ce questionnaire a pour but de savoir ce que les militaires pensent au sujet des femmes au sein de l’armée canadienne. Quatre femmes et quatre hommes ont rempli notre questionnaire. Trois caporaux, un sergent, deux adjudants, une capitaine de corvette et finalement une colonelle. Nous allons donc vous présenter les questions. Parfois leurs opinions se ressemblent, d’autres fois elles divergent.
Nous avons commencé par leur demander ce qu’ils pensaient des femmes au sein des forces armées canadiennes. Si les femmes avaient leurs places et si elles devaient occuper certains postes plus que d’autre. Cinq personnes sur huit nous ont admis qu’être une femme pouvait parfois être difficile au sein des Forces armées canadiennes. Et seulement trois admettent que les femmes ne devraient pas occuper les postes tels que membre de l’infanterie, blindé, artillerie ou tous autres métiers de combat. Simplement qu’elles n’ont pas la capacité en terme de forces physique pour occuper ces postes. Si oui, elles sont une minorité.
La deuxième question concernait le respect des femmes au sein des forces armées canadiennes… Tous sont d'accord pour dire que les femmes au sein des Forces son bien traité et avec respect. Effectivement, il existe des règles très strictes souhaitant que les femmes soient respectées au même titre que les hommes. « Si les femmes ne se plaiguent pas et font leur travail comme elles se doivent, tout le monde devrait respecter, tous le monde. » Selon un des nombreux militaires interrogés.
La troisième question était de savoir si les femmes hautes gradées sont plus exigeantes que les hommes hauts gradés. Si elles en demandaient plus. Cette question a été la plus élaborée en terme de réponse que tous les autres. Certains disent que ça dépend de la personnalité de la femme. Une certaine militaire nous a avoué qu’étant superviseuse, elle exigeait beaucoup des gens qui travaillaient pour elle. Deux militaires mon livré cette même réponse qui se ressemble beaucoup : « Je crois que dans notre mentalité elles se doivent de prouver qu’elles sont capables de faire autant que les hommes côté leadership, mais en général, elles sont plus juste envers le système militaire et leurs personnels. » la sénatrice Ringuette à confié à un groupe d’étudiants: « Comme femme, nous exigerons plus d’une femme que d’un homme. »[10]
La quatrième question était de savoir si le point de vue des hommes par rapport aux femmes dans l’armée canadienne était positif ou négatif. Pour cette question, tous s’entendent à dire qu’il ne devrait pas être négatif et que les femmes apportent beaucoup de leur côté. Selon la sénatrice Ringuette, les femmes vont tenir compte d’une approche plus balancée.[11] Une colonelle nous a répondu que le poste qu’elle occupe est sélectionné par un comité principalement rempli d’hommes. Il est donc évident que les hommes voient les femmes d’une façon plus positive. Un autre militaire nous disait qu’il n’était pas d'accord que les salaires soient pareils, dû au fait que les femmes avaient plus de difficulté physiquement. En effet, les femmes militaires ont besoin d’une hygiène plus sévère, mais de là à leur couper une partie de leur salaire, elles travaillent probablement autant plus fort que l’homme pour y arriver. Elles le méritent donc!!!
Finalement, notre cinquième question était de savoir depuis qu’ils étaient rentrés dans l’Armée, s’il y avait eu un développement du côté féminin. La question fut principalement la même pour sept personnes, la huitième venant tout juste de se joindre aux Forces armées canadiennes, elle n’a pas été assez longtemps dans cette institution pour dire oui. Par contre, beaucoup s’appuie pour dire qu’il y a eu beaucoup de dommage fait durant tous le développement fait aux femmes. Exemple d’une militaire; les conjointes de militaires avaient une inquiétude que leurs maris soient avec d’autres femmes pendant une période assez longue. (Par exemple, sur les bateaux ou durant les semaines voir les mois d’entrainement dans le champ.) Elle mentionne également que ceux qui ne sont pas directement touchés, sont les pires pour avoir des préjugés. Aujourd’hui les conjointes n’ont plus le même esprit qu’auparavant. Elles sont moins inquiétées à ce propos. Également, ce qui a extrêmement évolué durant les deux dernières décennies, sont les vacances de grossesse. En 1989, les femmes n’avaient pratiquement pas de vacance de grossesse, elles accouchaient et on les renvoyait au travail. Si elle ne pouvait pas faire leur métier, un autre leur était assigné jusqu'à ce qu’elles soient capables de récupérer le leur. Aujourd’hui, les femmes ont les mêmes avantages que les civils. Six mois de vacances de grossesse.
Aujourd’hui, pourquoi est-ce que l’on ne voudrait pas avoir de femme dans nos rangs militaires? Est-ce une question d’attitude que les hommes ont, de ne pas vouloir avoir de compétition? Pourquoi compétitionner? Malgré qu’il y a toujours eu de la compétition dans tout... Nous vivons dans un monde de compétition. Certains hommes disent que les femmes n’ont pas leur place dans les forces armées canadiennes, dû au fait de leur physique qui ne se comparent pas au biceps de l’homme… C’est doublement dur sur le physique pour une femme. Par contre, les Forces armées canadiennes ont quasiment le même critère d’entrainement physique pour un homme que pour une femme.[12] Alors, pourquoi se plaindre? Pourvue que celle-ci passe les tests d’entrainement physique! Également, il existe surement des hommes qui sont moins en forme que certaines femmes!
Sur le plan émotionnel et sur le plan moral, il peut également être difficile pour une femme, disons que la femme a toujours été vers le social. Habituellement, la femme essayera de parler avant que quoi que ce soit arrive. Donc, durant une guerre, il sera difficile pour les femmes, sachant que l’ont n'a pas fait le maximum pour pouvoir régler ça avant de déclencher une guerre. Tandis que sur le plan émotionnel, les femmes sont plus affectées que par un homme de la détresse des gens. Elle ne sera pas toujours capable de faire les tâches dites sales. Si elles les font, elle aura probablement de la difficulté à l’accepter au début. C’est ce qui rend difficile pour les femmes de se décider à se joindre aux forces armées canadiennes!
Si les femmes voudraient prendre plus le temps de penser a qu'est-ce qu’elles peuvent apporter au sein de l’armée Canadienne, elles seraient probablement le double dans nos rangs. De nos jours, les femmes occupent 15% des Forces armées canadiennes. Elles apportent à l’armée plus que vous ne le pensez. Leurs manières de gérer, de penser, de se tenir debout devant une idée ou simplement le fait d’être plus curieuse qu’un homme.
Par contre, si l’on parle dû fait que ce soit inacceptable pour une femme de se joindre aux Forces armées canadiennes dû faites qu’elle soit mère. La réponse à ce commentaire serait que la femme a, pendant trop longtemps été associé à quelqu’un qui s’occupait des enfants à la maison, qui pense toujours la même chose que sont mari, qui fait le ménage et à mangé. Et le mari lui, à une personne qui à un boulot, et qui rentre de la maison qui veut que son souper soit prêt. Et en plus, il faudrait qui endure le personnage d’héros. (Maman aussi voudrait peut-être être héroïne!!!) Nous avons évolué comme société nous sommes rendus à un point t’elle que la femme a le droit de se chercher un emploi, n’importe quel emploi. Nous somme conscient que les Forces armées canadiennes doivent faire amplement d’entrainement, déploiement… Mais la mère est perçue principalement par la société comme une personne qui doit être là pour ses enfants, mais le mari, par contre, à le droit de s’absenter quand il veut, pourvue que ce soit pour le travail. Mais pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas être le tour de la maman pour une fois? Il faut arrêter de donner tous aux hommes. Et commencer à se préoccuper de nous, les femmes.
L’OTAN et l’ONU sont deux grandes organisations importantes au monde. L’OTAN a commencé à reconnaître les femmes dans les armées durant la guerre froide. Il était rendu évident après la Deuxième Guerre mondiale que les femmes étaient là pour rester. Évidemment, l’OTAN considère que la femme a le même statut que l’homme, par contre, il faut lui donner du temps à s’habituer à la « nouveauté ». C’est pourquoi, si l’on regarde tous les pays de l’OTAN, les femmes font une entrée progressivement. Par contre, tous pays n’avancent pas moralement en même temps, c’est pourquoi, les femmes militaires au sein des armées qui participe a des missions de l’OTAN on de la difficulté parfois due au fait que les pays ne sont pas rendus tous au même stade. Également, il existe des « dinausaures[13] » Qui ne veut rien savoir du changement et continu à s’entêter que les femmes n’ont pas leurs places. Exemple très simple :
Dans le cadre d’une mission multinationale, comme l’Afghanistan, l'OTAN les responsables militaires de l'OTAN, en raison des réactions variées que suscite la présence d'une femme un poste de commandement supérieur. Certaines forces internationales trouveront cette situation normale et suivront les instructions sans problèmes, alors que d'autres pourront mettre en cause l'autorité d'une femme en fonction, risquant alors de créer une situation de conflit interne tant que l'autorité ne sera pas fermement établie.[14]
Ainsi, l’OTAN stipule « Ne pas accepter les femmes des postes élevées ou comme des égales, c'est ne pas savoir tirer pleinement parti des effectifs militaires de l’OTAN. »[15] Ainsi, l’OTAN stipule « Ne pas accepter les femmes des postes Et donc, l’OTANT est pleinement en faveur des femmes au sein des armées, mais assure que plus soit être fait pour assurer le bon déroulement de tous les opérations militaires.
L’organisation des Nations Unies (ONU), tant qu’à elle, subit différent développement. En juin 2000, à la conférence de « Beijing +5, les gouvernements se sont engagés à assurer la pleine participation des femmes à tous les niveaux de la prise de décision dans les processus de paix, de maintien et de consolidation de la paix. Ou comme des égales, c'est ne pas savoir tirer pleinement parti des effectifs militaires de l’OTAN. »[16] Et donc, les femmes peuvent être dans n'importe quelles missions, peut-être n’importe quels rangs, elles ont droit de participer aux missions de paix de l’Organisation des Nations Unies (ONU). « En octobre 2000, Le Conseil de sécurité adopte la résolution 1325 (2000) qui examine l'impact de la guerre sur les femmes et souligne l'importance de la participation des femmes dans tous les aspects des opérations de maintien de la paix de l'ONU. » Donc non seulement l’ONU stipule qu’elles ont accès aux opérations, mais également elle avoue que les femmes ont une grande importance auprès des opérations. Si l’ONU le dit, c’est que ça doit être vrai! D’habitude les États suivent majoritairement l’ONU. Et donc, elle a dit que les femmes sont importantes dans les opérations, et bien que tout le monde suit l’ONU!!!
Le Canada n’est pas le seul à accepter les femmes dans ces rangs militaires. Au contraire, la plupart des pays développés socialement ont les femmes à leurs bords. Par exemple, les femmes sont plus de 12.8% des forces armées en Australie. Par contre, elles ne peuvent pas servir dans l’infanterie, Artillerie et dans d’autres secteurs de débat extrême. Le même modèle est remarqué au Royaume-Uni, par contre, eux compte seulement 9% d e femmes. Au Danemark, on compte 5% des femmes au sein de leur armée. On constate alors que la Défense nationale ne font pas de promotion pour que les femmes obtiennent du leadreship. Leur évaluation physique est totalement différente des sexes. On constate alors un revirement de situation en Érythrée, ou on aperçoit plus de 25% de femmes au sein de leurs armées!!! Mais nous apercevons un revirement en France tandis que ce merveilleux pays accepte les femmes, dans tous les postes, incluant l’infanterie… Par contre, elles ne sont pas encore autorisées à servir dans les sous-marins. La Libye quant à elle est la seule nation islamique a accepter les femmes au sein de l’armée, par contre, nous ne savons pas combien elles sont et les postes ouverts. Nous voyons donc, le développement de chaque pays. Une chose est sur, c’est qu’il continura d’avoir du développement parmi c’est pays.[17]
Ainsi, nous avons pu voir la différence entre autrefois et aujourd’hui par rapport aux femmes dans les Forces armées canadienne. Nous avons vu que plusieurs choix pouvaient influencer la femme à se joindre à l’armée. Par contre, il est toujours utile d’avoir des femmes au sein de cette institution pour pouvoir donner leur point de vu qui est souvent différent de celui des hommes. Nous avons vu également, que le Canada est un des peu nombreux pays à être si ouvert par rapport à la femme au sein des armées à travers le monde. Soyez fier d’être Canadien!
Bibliographie
Périodique
MUNN, Edwidge, «les canadiennes en uniforme (1939-1945) », Cap-aux-diamants , Automne 1995, p. 46-49
Livre
BERNIER, Serge, Le patrimoine militaire canadien d’hier à aujourd’hui tomme III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, 251p.
CAIRE, Raymond, la femmes militaire, Paris, Lavauzelles, 361p.
DUNDAS, Barbara, les femmes dans le patrimoinse militaire canadien, Montréal, Art Global et ministère de la Défense en collab. Avec le ministère des travaux publics et services gouvernementaux Canada, 2000, 156p.
DUNN, Jason, Women in combat arms: A question of attitudes, Ottawa, Université d’Ottawa, 1999, 120p.
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Site internet
CBC, Canada’s military Women in the Canadian military, http://www.cbc.ca/news/background/cdnmilitary/womencdnmilitary.html, dernière mise à jours le30 mai 2006, date de consultation le 25 mars 2008
HARRIS, Marcelite, la reconnaissance du rôle des femmes parmi les forces militaire de l’OTAN, http://www. nato.int/ docu/revue/1997/9705-08.htm, consulté le 4 avril 2008
LLOYD, Jane, Les femmes agents de la paix Elles font la différence, http://www.un.org/french/pubs/chronique/2006/numero1 /0106p06.htm, Site web consulté le 4 avril 2008
Ministère de la Défense nationale, À quoi s’attendre, http://www.skyhawks. forces.gc.ca/lf/ Français/1_3_1_5.asp, dernière mise à jours le 28 mars 2007, date de consultation le 27 mars 2008
Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
Wikipédia, history of women in the military, http://en.wikipedia.org/wiki/Military_women, , Dernière modification le 30 mars 2008, Site web consulté le 5 avril 2008
[1] DUNDAS, Barbara, Les femmes dans le patrimoine militaire canadien, Art Global, Montréal, 2000, 157p.
[2] MUNN, Edwidge, «les canadiennes en uniforme (1939-1945) », Cap-aux-diamants , Automne 1995, p. 49
[3] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn.ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[4] Ibid.
[5]CBC, Canada’s military Women in the Canadian military, http://www.cbc.ca/news/background/cdnmilitary/women-cdnmilitary.html, dernière mise à jours le30 mai 2006, date de consultation le 25 mars 2008
[6] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[7] Ibid.
[8] Aujourd'hui, les femmes sont acceptées à bord des sous-marins, à l’exception d’une sorte qui ne peut abriter deux sexes. Également, l’aumônier reste un titre masculin. Aumônier est le même poste que prêt, par contre il sert dans les Forces armées canadiennes.
[9] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[10] Lorsqu’elle s’est adressée à une classe d’étudiants en science politique femme et le pouvoir le 25 mars 2008, à l’université de Moncton, campus d’Edmundston
[11] Ibid.
[12] Ministère de la Défense nationale, À quoi s’attendre, http://www.skyhawks. forces.gc.ca/lf/ Français/1_3_1_5.asp, dernière mise à jours le 28 mars 2007, date de consultation le 27 mars 2008
[13] Terme pris du questionnaire d’un militaire. (questionnaire numéro 3)
[14] HARRIS, Marcelite, la reconnaissance du rôle des femmes parmi les forces militaire de l’OTAN, http://www. nato.int/ docu/revue/1997/9705-08.htm, consulté le 4 avril 2008
[15] Ibid.
[16] LLOYD, Jane, Les femmes agents de la paix Elles font la différence, http://www.un.org/french/pubs/chronique/2006/numero1/0106p06.htm, Site web consulté le 4 avril 2008
[17] Wikipédia, history of women in the military, http://en.wikipedia.org/wiki/Military_women, , Dernière modification le 30 mars 2008, Site web consulté le 5 avril 2008