La plupart du temps, dans le milieu des entreprises nous retrouverons un système hiérarchique, un organigramme, une sorte d’échelle de commandement. La plupart des organisations ont cette structure, les moyennes et grandes entreprises, les ministères et même parfois à la maison. Par contre, la plus grande chaîne hiérarchique serait la défense nationale, surtout si l’on parle sur le territoire du Canada. Dans d’autre pays, il serait peut être quelques peut différent. Au Canada, la structure gouvernemental exige dans un ministère d’avoir un ministre, son cabinet, et ensuite on descend la hiérarchie avec le sous-ministre et ainsi de suite. Par contre, dans le ministère de la Défense national du Canada, la hiérarchie est quelque peu différente. On trouve un général des forces armées canadienne qui a son quartier général à Ottawa, la capitale nationale du Canada. Et à partir de là, la chaîne de commandement descend. En revanche, cette recherche a pour but de savoir si le général des forces armées canadienne à plus d’influence et de pouvoir que le ministre de la Défense nationale aux yeux du Premier ministre du Canada. Dans ce projet nous aborderons différentes relations entre différents milieux, comme certaines organisations au sein de l’armée canadienne. Nous les analyserons par la suite. Puis, nous examinerons les relations entre le ministère de la Défense nationale et d’autres services canadiens pour ensuite regarder les relations entre l’ONU, l’OTAN et la Défense.
Le Canada[1] a été colonisé par la France en 1604 et ensuite à la suite de la bataille de 100 ans, le Canada a été perdu du coté de la France qui nous[2] avaient cédés à l’Angleterre en 1759. Au Bas-Canada, nous l’avons senti par plusieurs batailles, mais surtout celle avec Wolf et Montcalm sur les plaines d’Abraham. Cette bataille se résultat avec la victoire des anglais. Durant tous ses moments, nous avons étés défendu par ces pays. Les militaires du temps venait de nos pays colonisateurs. Il n’est par contre pas s’en mentionner, que le Canada avait également des hommes de bonne foi qui aidaient nos pays colonisateurs, mais le Canada n’a jamais eu d’armée à elle seul avant 1867, date à laquelle le Canada à acquis la responsabilité de sa défense nationale par sa constitution.. Par contre, « Avec un budget initial à 900 000$[3], le ministère de la milice et de la défense canadien nait officiellement en 1868» et l’armée britannique aura seulement quitté le Canada en 1871, à l’exception d’une fortification à Halifax. (Une certaines citadelle, du même style que celle de Québec mais légèrement plus petite.) Le Canada devait maintenant, à lui seul, défendre le pays. La milice permanente active (celle qui travail à plein temps) aura environs 37 170 volontaires[4]. De plus, les responsables feront une liste de la milice non-active. (Cette liste comprend les noms des personnes qui seraient prêt à servir en cas de besoin, mais qui occupent d’autres métiers.)
Avant 1968, les Forces canadienne connaissent trois armes complètement différent et séparé; l’armé de terre, l’armé de l’air et la marine. Ce n’ai qu’en 1968 que l’on décide de faire une unification, les uniformes, les grades qui jusqu’à maintenant était celle que l’armé britannique que l’on utilisait serons changé pour celle canadienne… Bien sur, il y aura eu quelques réformes après 1968, mais rien de majeur.
La Défense nationale est une unité qui défend et sert l’État. Défense qui veut dire action de se défendre[5] et nationale qui veulent dire de relever d’un état[6]. C’est deux mots placés ensemble veut dire l’action de protéger l’État. Notre unité de défense est les Forces armés canadienne, ou FC souvent utilisé comme abréviation. Le Canada compte environs 62 000 membres de la Force régulière, 25 000 membres de la Réserve, 20 000 employés civile (chauffeurs, chercheurs scientifiques, ingénieurs, concierges, etc.) et environs 3500 rangers canadiens.[7]/[8]/[9] Il ne faut tous de même pas oublier les 20 000 fonctionnaires[10] qui travaillent au sein du ministère de la Défense nationale.
Les rôles principaux des Forces canadienne sont de protéger le Canada et de défendre sa souveraineté. Le Canada aide également son plus grand allié du sud les États-Unis d’Amérique à protégé leur territoire avec des organisations mutuel, comme le commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD). Bien entendu, plusieurs autres accords entre ces deux pays existent. Également le Canada fait partie de l’OTAN et de l’ONU.
Les forces armées canadiennes on pour objectif les « 3D » : défense, effort de diplomatie et développement. Mis ensemble, si une crise, un conflit ou simplement lorsque le Canada intervient, les Forces canadiennes mettront en pratique les « 3D ».
Les forces canadiennes on comme commandant en chef le gouverneur général du Canada. Présentement, son excellence est la 27eme GG[11]. Les gouverneurs généraux qui se sont précédés et même encore aujourd’hui jouissent un rôle indirect au sein des Forces armées canadienne. Ils ont tous été le commandant en chefs des Forces armée Canadiennes. Le gouverneur général du Canada est principalement une image au sein des forces armée canadienne, ces seul fonctions étant d’accueillir les militaires de retour d’une mission, visiter les bases militaires, se présenter à quelques cérémonies et finalement le GG est chancelier et l’un des commandeurs de l’ordre du mérite militaire.[12]/[13]
Avant de débuter cette analyse, il serait important de mentionner que l’information au ministère de la défense nationale pour un simple projet universitaire n’est pas facile d’accès. Les idées présentées sont quelques hypothèses qui tiennent sur des véritables faits. Il se peut donc qu’une erreur se soit glissée, si tel est le cas, ceci est mon erreur et j’en assume la pleine responsabilité.
Le Canada[1] a été colonisé par la France en 1604 et ensuite à la suite de la bataille de 100 ans, le Canada a été perdu du coté de la France qui nous[2] avaient cédés à l’Angleterre en 1759. Au Bas-Canada, nous l’avons senti par plusieurs batailles, mais surtout celle avec Wolf et Montcalm sur les plaines d’Abraham. Cette bataille se résultat avec la victoire des anglais. Durant tous ses moments, nous avons étés défendu par ces pays. Les militaires du temps venait de nos pays colonisateurs. Il n’est par contre pas s’en mentionner, que le Canada avait également des hommes de bonne foi qui aidaient nos pays colonisateurs, mais le Canada n’a jamais eu d’armée à elle seul avant 1867, date à laquelle le Canada à acquis la responsabilité de sa défense nationale par sa constitution.. Par contre, « Avec un budget initial à 900 000$[3], le ministère de la milice et de la défense canadien nait officiellement en 1868» et l’armée britannique aura seulement quitté le Canada en 1871, à l’exception d’une fortification à Halifax. (Une certaines citadelle, du même style que celle de Québec mais légèrement plus petite.) Le Canada devait maintenant, à lui seul, défendre le pays. La milice permanente active (celle qui travail à plein temps) aura environs 37 170 volontaires[4]. De plus, les responsables feront une liste de la milice non-active. (Cette liste comprend les noms des personnes qui seraient prêt à servir en cas de besoin, mais qui occupent d’autres métiers.)
Avant 1968, les Forces canadienne connaissent trois armes complètement différent et séparé; l’armé de terre, l’armé de l’air et la marine. Ce n’ai qu’en 1968 que l’on décide de faire une unification, les uniformes, les grades qui jusqu’à maintenant était celle que l’armé britannique que l’on utilisait serons changé pour celle canadienne… Bien sur, il y aura eu quelques réformes après 1968, mais rien de majeur.
La Défense nationale est une unité qui défend et sert l’État. Défense qui veut dire action de se défendre[5] et nationale qui veulent dire de relever d’un état[6]. C’est deux mots placés ensemble veut dire l’action de protéger l’État. Notre unité de défense est les Forces armés canadienne, ou FC souvent utilisé comme abréviation. Le Canada compte environs 62 000 membres de la Force régulière, 25 000 membres de la Réserve, 20 000 employés civile (chauffeurs, chercheurs scientifiques, ingénieurs, concierges, etc.) et environs 3500 rangers canadiens.[7]/[8]/[9] Il ne faut tous de même pas oublier les 20 000 fonctionnaires[10] qui travaillent au sein du ministère de la Défense nationale.
Les rôles principaux des Forces canadienne sont de protéger le Canada et de défendre sa souveraineté. Le Canada aide également son plus grand allié du sud les États-Unis d’Amérique à protégé leur territoire avec des organisations mutuel, comme le commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD). Bien entendu, plusieurs autres accords entre ces deux pays existent. Également le Canada fait partie de l’OTAN et de l’ONU.
Les forces armées canadiennes on pour objectif les « 3D » : défense, effort de diplomatie et développement. Mis ensemble, si une crise, un conflit ou simplement lorsque le Canada intervient, les Forces canadiennes mettront en pratique les « 3D ».
Les forces canadiennes on comme commandant en chef le gouverneur général du Canada. Présentement, son excellence est la 27eme GG[11]. Les gouverneurs généraux qui se sont précédés et même encore aujourd’hui jouissent un rôle indirect au sein des Forces armées canadienne. Ils ont tous été le commandant en chefs des Forces armée Canadiennes. Le gouverneur général du Canada est principalement une image au sein des forces armée canadienne, ces seul fonctions étant d’accueillir les militaires de retour d’une mission, visiter les bases militaires, se présenter à quelques cérémonies et finalement le GG est chancelier et l’un des commandeurs de l’ordre du mérite militaire.[12]/[13]
Avant de débuter cette analyse, il serait important de mentionner que l’information au ministère de la défense nationale pour un simple projet universitaire n’est pas facile d’accès. Les idées présentées sont quelques hypothèses qui tiennent sur des véritables faits. Il se peut donc qu’une erreur se soit glissée, si tel est le cas, ceci est mon erreur et j’en assume la pleine responsabilité.
Pour débuter, commençons par parler de politique. Tout au sommet de la hiérarchie se trouve, comme dans tous pays, un premier ministre qui est à la tête des ministères. Le Premier ministre prend les décisions finale en se qui attrait aux décisions importantes de la Défense national canadienne. Ensuite, sous son commandement se trouve à la même égalité le ministre de la défense nationale et le général des forces armées canadiennes. Nous commencerons par analyser la branche du ministre avant celle du général et du reste des forces armées. La branche du ministre est principalement la même dans les autres ministères. Le ministre est composé de conseiller, qui l’aide à prendre certaines décisions. Ces conseillers sont en relation constante avec le général et le sous-ministre pour les aider au meilleur fonctionnement du ministère. Il faut dire que le ministre est plus responsable du milieu politique, tandis que le général sera beaucoup plus responsable des missions et du bon déroulement de ceux-ci sur le terrain. Ceci est certainement dû au fait que le général est beaucoup plus au courant des dossiers qui sont en cours que le ministre. Le général est la pour plusieurs années tandis que le ministre est la pour souvent quatre ans maximum. Rarement sont les fois qu’il excède ce nombre d’années. Par contre, ce qui ne sera jamais contredis, est le fait qu’ils agissent ensemble, le général et le ministre, pour le bon fonctionnement de la défense et des forces armées canadienne. Donc le ministre a principalement comme tâche la gestion des Forces armées canadiennes dans son ensemble. « Plus particulièrement, le ministre est chargé d'élaborer et d'articuler la politique de défense du Canada. » [14]
Après le ministre vient le poste de sous-ministre, à qui son poste diffère de quelques peut du ministre. Premièrement, le sous-ministre n’est pas de la Chambre des communes ou du Sénat, il est nommé par un greffier. C’est fonctions son principalement de remplacer le ministre lorsque celui-ci ne peut occuper ces fonction ou est indisponible. De s’occupé des finance du ministère, diriger les employé civile du ministère et finalement s’occuper de la politique retenue par le ministère.
Suite au sous-ministre dans la chaîne hiérarchique se trouve, le sous-ministre délégué, qui parfois remplace le sous-ministre. Ensuite on découle avec le secrétaire parlementaire du ministre de la défense national et finalement on en arrive aux sous-ministres adjoints. Au ministère de la Défense national, nous retrouvons huit sous-ministres adjoints et un ombudsman des Forces canadiennes. Chacun à un rôle particulier. Donc huit sous-ministres adjoints pour huit départements au sein du ministère : infrastructure et environnement, affaires publiques, matériel, finances et services du ministère, ressources humaines – civils, gestion de l'information, politique et finalement science et technologie et le chef de la direction de R & D pour la défense Canada. Et de chaque « département » découle une autre hiérarchie. Le seul mise à notre disposition que nous avons pu vous donner comme exemple présentement serait celle du sous-ministre adjoint de la politique. Trois directeurs sont reliés au sous-ministre adjoint de la politique; directeur général des coordinations des politiques, donc se dernier assure la liaison avec le cabinet, des affaires parlementaires et de la politique officielle. Le second directeur général est celui de la conception de la politique de défense. Il décide donc des politiques sur le contrôle des armements et le la prolifération, l’élaboration des politique et finalement la politique officielle. Le dernier directeur général s’occupe tant qu’à lui a la politique de sécurité international, par exemple, la politique avec l’Asie et le Pacifique, les programme d’aide à l’instruction militaire, la politique de l’OTAN, politique du maintien de la paix et dernièrement, la politique de l’hémisphère occidental. Vous avez donc une idée de la hiérarchie du coté politique sous le ministre de la défense national! On parle plus de financement et de politique, ce n’est pas du côté politique que l’on décidera quel tactique utilisé, ou a quel mission nous allons participer ou encore mieux, combien d’homme il nous faudra pour déjoué l’ennemi…
Maintenant que nous avons vue la hiérarchie du côté politique, attardons-nous à la hiérarchie du côté des Forces armées canadiennes. Plus haut, nous mentionnions que le général des forces armées canadiennes qui est le chef d’État major de la Défense nationale[15] est au même pied destalle que ministre de la défense nationale. Et de chacun découlait un chaîne hiérarchique, et bien voilà qu’à la suite du général, nous retrouvons Sous-chef d’État Major des forces canadienne et l’adjudant chef des forces canadienne qui tous les trois font partie du Quartier général des Forces armées canadiennes. Le général des forces armées canadiennes à comme mission de conseiller le parlement sur des enjeux militaire ou d’opération de paix. « Le chef d’État major de la Défense nationale est chargé du déroulement des opérations militaires et de l'état de préparation des Forces canadiennes en ce qui à trait à l'exécution des tâches que le Parlement attribue au ministère de la défense. Le chef d’État major de la Défense nationale publie tous les ordres et instructions destinés aux Forces canadiennes, et il a la responsabilité de toutes les questions concernant le personnel. »[16] Donc comme mentionner plus haut, après la chef de l’état major de la Défense se trouve deux personnes qui font tous deux partie du Quartier Général des Forces armées canadiennes avec les général des forces armée canadienne.
Le COMFOSCAN, soit le Commandement des opérations spéciales du Canada, découle directement du Sous-chef d’État Major des forces Canadienne. Cette unité est vraiment important puisqu’elle est déployable très rapidement. Elle permet de d’améliorer les situations le plus vite possible en mélangeant les forces de l’armé de terre, de la marine et de l’aviation pour créé un beau mélange de forces.[17] Du COMFOSCAN découle quatre unités séparées. Soit la Foi 2 (Deuxième force opérationnelle interarmées) qui à été formé en 1993 pour des opérations anti-terroristes qu’assurais la GRC auparavant. En 2001, la Foi2 à fait son apparition au sein de la coalition internationale des forces d'opérations spéciales en Afghanistan. La Foi 2 est une unité de très haute importance au Canada.[18]
Le 427 EOSA, est également une unité qui découle du COMFOSCAN. L’escadron d’opérations spéciales d’aviation est toujours prêt à intervenir. Le 427 EOSA ont 18 hélicoptères CH-146 Griffon qui servent à faire des transports de personne et d’équipement, des évacuations aéromédicales pour les Forces armées canadiennes a l’étranger mais également au pays. [19]
La UIIC, soit les incidents chimiques, biologiques, radiologiques, et nucléaires. Bref, cette unité n’à pas droit à l’erreur, elle est la plus avancé au Canada en terme d’équipe d’intervention au niveau de produit chimique.[20]
Finalement, la dernière unité à découler du COMFOSCAN est le régiment d’opération spéciale du Canada. (ROSC) Celui-ci est extrêmement important, il fait partie des mieux entrainé au monde. Ce régiment d’environ 800 hommes/femmes content parmi les mieux entrainés du monde. « Les membres de notre personnel sont des « professionnels posés » pour qui la protection des Canadiens passe avant la leur et qui n’agissent pas par bravade. » selon le Lieutenant-colonel Jamie Hammond.[21]
Donc nous avons vue que le COMFOSCAN relève du sous-chef d’État Major des forces canadiennes, Maintenant voyons le reste des unités qui relève du Quartier général des Forces canadiennes. D’un côté, nous avons quatre autres unités spéciales que nous verrons un peu plus loin. Mais tous d’abord, commençons par les trois armes.
Commençons par l’arme de terre, qui consiste principalement à l’infantrie, blindé, génie, transmission, artillerie et force de logistique... L’armé de terre constitue de 19 500 réguliers et à 15 500 réservistes.[22] L’armée de terre est divisée en 6 divisions sur le territoire canadien : Secteur du Québec de la Forces Terreste (SQFT), CÉMAT, le secteur de l'Atlantique de la Force Terrestre (SAFT), le système de la doctrine et de l'instruction de la Force Terrestre (SDIFC), le secteur centre des forces terrestre (SCFT) et finalement le secteur ouest des forces terrestre (SOFT). Et de chaque divisions découle un autres chaîne hiérarchique qui n’est pas accessible au publique.
L’arme de la marine contient 9500 personnes des forces régulières, 4 000 des réservistes et finalement 3 700 civiles. Les objectifs des forces de la marine sont principalement de la surveillance côtière, recherche et sauvetage, application de la loi, protection des zones de pêche, réapprovisionnement en mer et support médical. Encore la, le secteur maritime est divisé en plusieurs divisions qui ne sont pas accessible au publique.[23]
La troisième et dernière arme est celle de l’aérien. Elle contient 12 500 personnes de la force régulière, 2 300 réservistes et finalement 2 400 civils.[24] La force aérienne aide lors de certaines opérations.
Ensuites, il nous vient à parler des quatre autres unités connu qui son sous le commandement de l’État Major. C’est à savoir, le Commandement de la force expéditionnaire du Canada (COMFEC), Commandement Canada (COMCANADA), Commandement du soutient opérationel du Canada (COMSOCAN) et finalement l’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes (ASPFC).
Premièrement, le Commandement de la force expéditionnaire du Canada (COMFEC) est responsable des missions à l’international, tant de la planification, aux préparatifs qu’à l’exécution et au repatriment. Par exemple, la Bosnie, l’Aghanistan, Kosovo0, pour n’en nommée que trois. Le COMFEC réuni les trois armes ensemble. On comprend donc que l’on met les « bouchées triple » et on essai d’utiliser toute les ressources possible pour protèger les frontières du Canada. Le COMFEC est divisé en trois. Premièrement nous avons la Force opérationel permanente de contingente (FOPC), qui agit en premier lieu. Elle peut se déployer en 10 jours, tous les armes y metterons du sien pour arriver à l’objectif de l’opération. Ensuite nous avons la Force opérationnelle adapté à la mission (FOAM), une deuxième sorte de vague, qui vient surtout améliorer la première mission et l’adapter. Et finalement, la troisième division du COMFEC est l’Équipe d’intervention en cas de catastrophe (DART), Celle-ci est spéciale, jusqu’à récament, lorsqu’il y avait un désastre naturel ou une aide urgente humanitaire, le DART intervenait. Il aportais tous les besoins nécessaire et pouvait être déploiyé avec un cours préavis. Par exemple, lors du tremblement de terre de la Turquie en 1999. Dernièrement, le DART a été remplacé par une autre division. Par contre, cette divisioin n’est pas encore accesible au publique.[25]
Le Commandement Canada (COMCANADA) s’occuque principalement de la forces opérationnelle à l’interieur du Canada. Il faut apprendre à se concentrer sur le Canada d’abord, et donc, le COMCANADA se concentre sur les secours en cas de catastrophe, surveillance et protection du territoire, surveillance aérien et cotier, soutien des opérations anti-drogue du gouvernement fédéral et beacoup plus d’opérations qui ne sont pas toujours accessible au publique. Le COMCANADA contient six divisions. Ces divisions son principalement le territoire canadien qui à été divisé en six. La Force opérationnelle interarmée Pacifique, la Force opérationnelle interarmée Ouest, Centre, Est, Atlantique et finalement Nord.
Le Commandement du soutientopérationnel du Canada (COMSOCAN) assurent un soutient constant aux opérations tant au Canada qu’à l’étranger. Un soutient comme par exemple, de logistique, le génie, service de santé et la police militaire.[26]
La dernière unité est l’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes. Celle-ci contient principalement du personnel civil. Nousretrouverons trois divisions au sein de cette unité. Premièrement le Programme de soutien du personnel (PSP) : Celui-ci contient plusieurs programmes, par exemple, les centre de ressources pour les familles militaires qui apporte beaucoup aux familles (service de garde, soutient moral…) Égelement, il contient tous ce qui est conditionnement physique, donc les centres sprotif à l’interieur des bases militaires ou les familles ont acces avec des cartes spéciales. Le PSP contient beaucoup d’autre programmes qui à une plus grande envergure que ce que l’on pense véritablement. Une autre division serait le CANEX, qui est une sorte de magasin de tails et d’alimentation. On retrouve toujours un CANEX sur la base militaire. La troisième division est le service financier (SISP/RARM) qui est un service finacier qui offre au militaire un service de régime d’assurance vie et d’assurance invalidité, une planification finacière, du conselling finacier, et plusiers d’autres services y sont offert.
Dans les Forces armées canadiennes, tous les militaires n’ont pas tous le même rang. Premièrement il faut mentionner que la marine on leur propre grade comparativement l’aviation et l’armée de terre qui on les-mêmes. Nous vous invitons à consulté l’annexe 2 pour voir les grades. Selon la chaîne hierarchique, toute personne qui commence sera soit soldat recru ou matelot de 3e classe. Seul qui ont une formation plus avancé commencerons officier, par contre cela dépend de beaucoup. Premièrement on doit passer des testes, des formations, et c’est compliqué. Par contre, seulement vous faire remarquer la chaîne hierarchique des grades. Si un sergent à un problème, par exemple, il ne peut pas aller voir un Adjudant-chef, il va devoir respecter la chaîne.
Maintenant que nous avons vue a quoi ressemblais la hierarchie, tant du coté des Forces armées canadiennes que le ministère de la défense, il nous est possible de faire de lien entre les projets ou les opérations qui son en fonction si l’on regarde de plus près. Par exemple, si une catastrophe se produit, le premier ministre contactera le général pour voir combien d’effectif y peut y mettre. Le général, étant plus renseigné que le ministre pourra alors lui répondre et descendra la chaîne de commandement pour que la bonne unité se prépare. Dans le cas d’une catastrophe, il serait la responsabilité du DART. Par contre, la demande de préparatif devra passer par le Quartier générale des Forces armées, ensuites par le Commandement de la force expéditionnaire du Canada, qui elle contactera l’équipe d’intervention en cas de catastrophe. Ensuite les informations de préparatif et le nombre de militaire qui seront déployé remonte la chaîne. Rendu au général il contactera le sous-ministre ou le ministre pour lui dire, et de la le général s’adressera au média tandis que le ministre l’annoncera au parlement. On pourrait prendre une autre sorte de situation, par exemple des jeunes qui se sont perdu en forest au Nouveau-Brunswick. On contactera alors le général qui lui décendra au Commandement Canada et la Force opérationnelle interarmées Atlantique mettera sur pied un sauvetage. On commence par contre à se posser des questions pour savoir qui à le dernier mot avec les missions. Surtout depuis la mission canadienne en Afghanistan. Certaine personne ne se demande qui donne les ordres, le parlement ou le général. Il faut bien mentionner que le général recoit ces ordre du Premier ministre. Par contre, lorsqu’il est temps de prendre une descision, le Premier ministre, même si c’est lui qui a le dernier mot, demandera quand même conseil au Général des Forces armée canadienne puisqu’il est égelement les plus importants conseillers des FC. Il est au courant de tous les dossiers, connaît le milieu puisqu’il y travail depuis le début de ca carrière. Le Premier ministre nira pas demander conseil au ministre de la Défense dû au fait que le ministre n’a pas toujours les compétences pour être ministre de la Défense. « Le ministre est au parlement à ce que le général est dans le champs! Le bon champ d’entrainement faut t’il mentionner. »
Lorsque le ministère de la Défense nationale doit échanger avec un autre ministère, le tous va passer par le sous-ministre et par le ministre des autres ministères, mais ceci est également vrai à la Défense national. Tous dossiers qui sont en provenance du parlement qui doit se rendre au général vont passer par le ministre et/ou le sous-ministre, dépendamment des dossiers. Comme mentionné plus haut. Le ministre et le sous-ministre on comme fonction la politique au parlement. Le général à comme fonction de s’assurer de se tenir au courant des dossiers militaires. Le premier ministre se conseil auprès du général. Le général s’occupe de ses militaires et ne touche point à la politque.
En ce qui concerne les relations avec l’ONU et l’OTAN, le tous est la responsabilité du sous-ministre adjoint de politique de faire un contact avec les représentants de l’ONU et de l’OTAN. Ensuite, la mesure prise ou la décision prise remontera jusqu’au ministre qui informera le général. C’est ce qu’on appelle de la bureaucratie!! Par contre, en cas d’urgence national ou même international, on tentera de mettre le général sur la même ligne que les représentants de l’ONU ou l’OTAN.
Nous avons vue tous au long de la recherche que le générale avait la même influence sinon plus que le ministre de la défense national aux yeux du Premier ministre. Le général est plus au courants des derniers développements des dossiers que le ministre du à la chaîne hiérarchique. Également le general connait les forces armées canadienne plus que le ministre du au fait que le ministre sera à a tête du ministère seulement pour quatre ans. Tandis que le général aura œuvré toute sa carrière au sein des Forces armées canadienne. Nous pouvons donc conclure que le général des Forces armées canadiennes à autant d’influence aux yeux du Premier ministre même s’il n’est pas élu.
Bibliographie
Livre
BERNIER, Serge, le patrimoine militaire canadien, d’hier à aujourd’hui tome III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, 251p.
Défense national, Dégense national Rappor sur les plans et prioribés 2001-2002, Ottawa, 2002 40 p.
Défense national, Onjectif défini le concept d’emploi de l’armée de terre Ottawa, 2004, 52 p.
Sites Web
Défense nationale et forces armées canadienne, À notre sujet, http://www.forces.gc.ca/site/about/index_f.asp, dernière modification 16 aout 2007, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la défense nationale, Commandement des forces d’opération spéciales du Canada, http://www.comfoscan.forces.gc.ca/fr/background_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère des forces armées canadiennes, Commandement de la force expéditionnaire du Canada, http://www.cefcom.forces.gc.ca/site/home_f.asp, dernière modification1 avril 2008, date de consultation lunidi 1er avril 2008
Ministère des forces armées canadiennes, Commandement du soutient opérationnel du Canada, http://www.comsocan.forces.gc.ca/fr/index_f. asp, dernière modification1 aout 2006, date de consultation lunidi 1er avril 2008
Ministère de la défense nationale, Deuxième forces opérationnelle interarmées, http://www.foi2.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 11 janvier 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du Chef d'état-major de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du ministre de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
Ministère de la défense du Canada, Régiment d’opération spéciale du Canada, http://www.rosc.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 21 septembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale, renseignements généraux, http://www.comfoscan. forces.gc.ca /fr/cjiruinfo_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale du Canada, Une armée, http://www.army.forces.gc.ca/lf/Francais/1_1_1.asp, dernière modification 28 mars 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Ministère de la défense nationale, 1re Escadre KINGSTON : Escadrons et unités, http://www.airforce.forces.gc.ca/1wing/squadron /427_f.asp, dernière modification 13 juin 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
Son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, C.C., C.M.M., C.O.M., C.D., http://www.forces.gc.ca/site/Governor_General/index_f.asp, dernière modification 3 juillet 2007, Date de consultation lundi 24 mars 2008
[1] En 1604, le Canada n’a pas toujours été appelle ainsi. On retrouvait : « the province of Québec », le Haut et le Bas- Canada, et le Canada-Uni. Pour facilité et allégé le texte, nous ferons mention de Canadien tous temps.
[2] Peuple canadiens
[3] BERNIER, Serge, le patrimoine militaire canadien, d’hier à aujourd’hui tome III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, p. 16
[4] Ibid., p.16
[5] Antidote 2006
[6] Ibid.
[7] Rangers canadiens: « milice autochtone » (population nordique) Utilisé comme milice et expert de terrain dans les 3 territoires canadiens (Territoires du Nord-Ouest, Yukon, Nunavut)
[8] Chiffres pris du site web de la Défense nationale du Canada : Défense nationale et forces armées canadienne, À notre sujet, http://www.forces.gc.ca/site/about/index_f.asp, dernière modification 16 aout 2007, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[9] Réserve : militaire qui travail seulement à temps partiel... quelques cas peuvent faire sujet d’exception
[10] Chiffres pris du site web de la Défense national du Canada : Défense nationale et forces armées canadienne, Combien y a-t-il d'effectifs militaires et civils au sein du MDN et des FC?, http://www.forces. gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[11] GG : diminutif de gouverneur générale souvent utilisé.
[12] Information prise sur la page web de a GG : Son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, C.C., C.M.M., C.O.M., C.D., http://www.forces.gc.ca/site/Governor_General/index_f.asp, dernière modification 3 juillet 2007, Date de consultation lundi 24 mars 2008
[13] L’ordre du mérite militaire: L’Ordre du mérite militaire reconnaît les services exceptionnels de Canadiens et Canadiennes qui, dans l’exercice de leurs fonctions au sein des Forces armées régulières et de réserve, ont fait preuve d'un dévouement et d'une assiduité bien au-delà de ce que le devoir leur commandait. (Explication pris de ce site : http://www.gg.ca/honours/nat-ord/omm/index_f.asp)
[14] Information prise : Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du ministre de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[15] Les trois formulations signifie la même personne -» le général des forces armées canadiennes / le chef d’État major de la Défense nationale / CEMD
[16] Information prise : Ministère de la Défense nationale, Quel est le rôle du Chef d'état-major de la Défense nationale?, http://www.forces.gc.ca/site/Faq/Answers_f.asp#five2, dernière modification 26 février 2008, date de consultation lundi le 24 mars 2008
[17] Ministère de la défense nationale, Commandement des forces d’opération spéciales du Canada, http://www.comfoscan.forces.gc.ca/fr/background_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[18] Ministère de la défense nationale, Deuxième forces opérationnelle interarmées, http://www.foi2.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 11 janvier 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[19] Ministère de la défense nationale, 1re Escadre KINGSTON : Escadrons et unités, http://www.airforce.forces.gc.ca/1wing/squadron /427_f.asp, dernière modification 13 juin 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[20] Ministère de la défense nationale, renseignements généraux, http://www.comfoscan.forces.gc.ca /fr/cjiruinfo_f.asp, dernière modification 30 novembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[21] Ministère de la défense du Canada, Régiment d’opération spéciale du Canada, http://www.rosc.forces.gc.ca/fr/index_f.asp, dernière modification 21 septembre 2007, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[22] Ministère de la défense nationale du Canada, Une armée, http://www.army.forces.gc.ca /lf/Francais/1_1_1.asp, dernière modification 28 mars 2008, date de consultation lundi le 31 mars 2008
[23] Wikipédia, Forces canadiennes, http://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_canadiennes#Commandement _maritime_.28MARCOM.29, dernière modification 31 mars 2008, date de consultation lundi le 1er avril 2008
[24] Ministère des forces armées canadiennes, effectif de la force aérienne, http://www.airforce.forces.gc. ca/site/purpose/today5_f.asp, dernière modification 22 septembre 2006, date de consultation lundi 1er avril 2008
[25] Ministère des forces armées canadiennes, COMFEC, http://www.cefcom.forces.gc.ca/site/home_f.asp, dernière modification1 avril 2008, date de consultation lundi 1er avril 2008
[26] Ministère des forces armées canadiennes, COMSOCAN, http://www.comsocan.forces.gc.ca/fr/index_f. asp, dernière modification1 aout 2006, date de consultation lundi 1er avril 2008
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