Les femmes durand trop longtemps ont été sous-estimées, infériorisées et même aujourd’hui nous pourrions dire qu’elles le sont encore d’une certaine manière. Mais depuis peu, la société s’est modernisée et les femmes on prit plus de place. Même au sein de l’armée canadienne durant la Guerre des Boers et les deux Grandes Guerres les femmes étaient présentes. Notre intention dans cette recherche, sera donc de vérifier si la femme est traitée différemment au sein de l’armée canadienne de nos jours et ensuite nous analyserons les faits avec d’autres pays.
Les femmes n’ont pas toujours été acceptées au sein de l’armée canadienne. Heureusement, un grand cheminement s’est fait. Au tous début, dans les années 1880, les femmes n’avaient pas assez d’autonomie pour sérieusement rentré dans les forces armées. Et non, on leur accordait plus une importance d’infirmières, qui était souvent mal payées, mais on leur disait qu’elles servaient bien leur pays. Cela les composaient d’une certaine manière, avoir le sens du devoir accompli. Le premier groupe de femmes infirmières à travailler était dans les années 1885, durant la révolution de Riel au Manitoba. Loretta Miller, infirmière-chef à l’Hopital général de Winnipeg, fut demandé de partir pour la Saskatoon pour pouvoir prendre en charge l’hôpital de campagne que l’on avait envoyée pour soigner les blessés. Bientôt, plus de onze autres infirmières arrivèrent pour l’aider et après la guerre on les remercia tous, disant qu’elle avait fait un merveilleux travail.[1] À vrai dire, les femmes ont eu l’accès aux Forces armées canadiennes en tant qu’infirmières militaires seulement en 1906. Durant la Première Guerre mondiale, on envoya des télégrammes pour pouvoir avoir le plus de femmes pour s’enrôler. « Pour une jeune femme célibataire, la guerre offrait une chance unique de gagner un salaire relativement convenable de quitter le milieu familial et de connaître du pays. L’aventure et le goût de l’action, voilà ce qui attirait le plus les anciennes militaires de la Première Guerre mondiale. »[2] Également, les femmes « commencent à s'initier au maniement des armes légères, à la drill, aux premiers soins et à l'entretien des véhicules, au cas où leurs services seraient requis au pays. » [3] Tandis qu’on envoya des femmes outre-mer pour prodiguer des soins à nos beaux et vaillants militaires. En tous, plus de 2 800[4] femmes ont participé à la Première Guerre mondiale et quarante-trois sont décédées durant leurs fonctions.[5] Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elles seront plus de 5 000 à travailler au sein du Corps médical de l’armée canadienne. De même, c’est en 1941 que les femmes peuvent occuper un autre poste dans les Forces armées canadiennes qu’infirmière, commis, cuisinière, chauffeur et téléphoniste. Durant la Deuxième Guerre mondiale, elles seront soixante et onze est décédée durant leur service. Par contre, durant la Deuxième Guerre, il y eut beaucoup de développement, en 1941, elles peuvent maintenant être mécaniciennes, arrimeuses de parachute et conductrices d’équipement lourd.[6] Plus de 45 000 femmes vont participé à la deuxième guerre mondiale.[7] En 1970, une Commission Royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada propose quelques modifications en faveur des femmes au sein des Forces armées canadiennes. En 1979, les collèges militaires permettent l’admission de femmes au sein de leurs instituts. La force aérienne a été la première, en 1982, à permettre l’ouverture de tous postes à une femme. On décide d’ouvrir toutes les postes, à l’exception des postes à bord des sous-marins et des aumôniers[8], aux femmes en 1989. Durant les deux dernières décennies, les Forces armées canadiennes n’ont pas arrêté d’évoluer, et encore aujourd’hui, nous pouvons apercevoir un changement constant de l’attitude qu’elles entreprennent à travers certaines missions.[9]
Pourquoi une femme devrait-elle être dans les forces armées canadiennes? Ou pourquoi ne devraient-elles pas l’être? Devraient-elles accomplir certains postes plus que d’autres? Les femmes sont-elles respectées au sein des Forces armées? Les hommes, eux en pensent quoi? Et le statue de la femme lui, évolue t’il encore dans l’armée? Voici des questions que plusieurs personnes se posent. Dans la société d’aujourd’hui, nous apercevons encore une mince différence entre l’homme et la femme de tous côtés. Certaines femmes sont même prêtes à donner comme excuse qu’elles sont des femmes et qu’elles ne peuvent pas accomplir certaines tâches. Malheureusement, encore aujourd’hui, l’homme fait également mention à cette affirmation.
Nous avons donc décidé de faire un questionnaire de cinq questions ou l’on a demandé à quelques militaires, de tous rangs et de toute fonction, de le remplir. Certains on refusés, disant que certaines lois militaires l’interdisaient se questionnaires et qu’il devait passer par le ministère de la Défense national à Ottawa si l‘on voulait qu’ils le répondre. D’autres l’ont rempli avec plaisir. Ce questionnaire a pour but de savoir ce que les militaires pensent au sujet des femmes au sein de l’armée canadienne. Quatre femmes et quatre hommes ont rempli notre questionnaire. Trois caporaux, un sergent, deux adjudants, une capitaine de corvette et finalement une colonelle. Nous allons donc vous présenter les questions. Parfois leurs opinions se ressemblent, d’autres fois elles divergent.
Nous avons commencé par leur demander ce qu’ils pensaient des femmes au sein des forces armées canadiennes. Si les femmes avaient leurs places et si elles devaient occuper certains postes plus que d’autre. Cinq personnes sur huit nous ont admis qu’être une femme pouvait parfois être difficile au sein des Forces armées canadiennes. Et seulement trois admettent que les femmes ne devraient pas occuper les postes tels que membre de l’infanterie, blindé, artillerie ou tous autres métiers de combat. Simplement qu’elles n’ont pas la capacité en terme de forces physique pour occuper ces postes. Si oui, elles sont une minorité.
La deuxième question concernait le respect des femmes au sein des forces armées canadiennes… Tous sont d'accord pour dire que les femmes au sein des Forces son bien traité et avec respect. Effectivement, il existe des règles très strictes souhaitant que les femmes soient respectées au même titre que les hommes. « Si les femmes ne se plaiguent pas et font leur travail comme elles se doivent, tout le monde devrait respecter, tous le monde. » Selon un des nombreux militaires interrogés.
La troisième question était de savoir si les femmes hautes gradées sont plus exigeantes que les hommes hauts gradés. Si elles en demandaient plus. Cette question a été la plus élaborée en terme de réponse que tous les autres. Certains disent que ça dépend de la personnalité de la femme. Une certaine militaire nous a avoué qu’étant superviseuse, elle exigeait beaucoup des gens qui travaillaient pour elle. Deux militaires mon livré cette même réponse qui se ressemble beaucoup : « Je crois que dans notre mentalité elles se doivent de prouver qu’elles sont capables de faire autant que les hommes côté leadership, mais en général, elles sont plus juste envers le système militaire et leurs personnels. » la sénatrice Ringuette à confié à un groupe d’étudiants: « Comme femme, nous exigerons plus d’une femme que d’un homme. »[10]
La quatrième question était de savoir si le point de vue des hommes par rapport aux femmes dans l’armée canadienne était positif ou négatif. Pour cette question, tous s’entendent à dire qu’il ne devrait pas être négatif et que les femmes apportent beaucoup de leur côté. Selon la sénatrice Ringuette, les femmes vont tenir compte d’une approche plus balancée.[11] Une colonelle nous a répondu que le poste qu’elle occupe est sélectionné par un comité principalement rempli d’hommes. Il est donc évident que les hommes voient les femmes d’une façon plus positive. Un autre militaire nous disait qu’il n’était pas d'accord que les salaires soient pareils, dû au fait que les femmes avaient plus de difficulté physiquement. En effet, les femmes militaires ont besoin d’une hygiène plus sévère, mais de là à leur couper une partie de leur salaire, elles travaillent probablement autant plus fort que l’homme pour y arriver. Elles le méritent donc!!!
Finalement, notre cinquième question était de savoir depuis qu’ils étaient rentrés dans l’Armée, s’il y avait eu un développement du côté féminin. La question fut principalement la même pour sept personnes, la huitième venant tout juste de se joindre aux Forces armées canadiennes, elle n’a pas été assez longtemps dans cette institution pour dire oui. Par contre, beaucoup s’appuie pour dire qu’il y a eu beaucoup de dommage fait durant tous le développement fait aux femmes. Exemple d’une militaire; les conjointes de militaires avaient une inquiétude que leurs maris soient avec d’autres femmes pendant une période assez longue. (Par exemple, sur les bateaux ou durant les semaines voir les mois d’entrainement dans le champ.) Elle mentionne également que ceux qui ne sont pas directement touchés, sont les pires pour avoir des préjugés. Aujourd’hui les conjointes n’ont plus le même esprit qu’auparavant. Elles sont moins inquiétées à ce propos. Également, ce qui a extrêmement évolué durant les deux dernières décennies, sont les vacances de grossesse. En 1989, les femmes n’avaient pratiquement pas de vacance de grossesse, elles accouchaient et on les renvoyait au travail. Si elle ne pouvait pas faire leur métier, un autre leur était assigné jusqu'à ce qu’elles soient capables de récupérer le leur. Aujourd’hui, les femmes ont les mêmes avantages que les civils. Six mois de vacances de grossesse.
Aujourd’hui, pourquoi est-ce que l’on ne voudrait pas avoir de femme dans nos rangs militaires? Est-ce une question d’attitude que les hommes ont, de ne pas vouloir avoir de compétition? Pourquoi compétitionner? Malgré qu’il y a toujours eu de la compétition dans tout... Nous vivons dans un monde de compétition. Certains hommes disent que les femmes n’ont pas leur place dans les forces armées canadiennes, dû au fait de leur physique qui ne se comparent pas au biceps de l’homme… C’est doublement dur sur le physique pour une femme. Par contre, les Forces armées canadiennes ont quasiment le même critère d’entrainement physique pour un homme que pour une femme.[12] Alors, pourquoi se plaindre? Pourvue que celle-ci passe les tests d’entrainement physique! Également, il existe surement des hommes qui sont moins en forme que certaines femmes!
Sur le plan émotionnel et sur le plan moral, il peut également être difficile pour une femme, disons que la femme a toujours été vers le social. Habituellement, la femme essayera de parler avant que quoi que ce soit arrive. Donc, durant une guerre, il sera difficile pour les femmes, sachant que l’ont n'a pas fait le maximum pour pouvoir régler ça avant de déclencher une guerre. Tandis que sur le plan émotionnel, les femmes sont plus affectées que par un homme de la détresse des gens. Elle ne sera pas toujours capable de faire les tâches dites sales. Si elles les font, elle aura probablement de la difficulté à l’accepter au début. C’est ce qui rend difficile pour les femmes de se décider à se joindre aux forces armées canadiennes!
Si les femmes voudraient prendre plus le temps de penser a qu'est-ce qu’elles peuvent apporter au sein de l’armée Canadienne, elles seraient probablement le double dans nos rangs. De nos jours, les femmes occupent 15% des Forces armées canadiennes. Elles apportent à l’armée plus que vous ne le pensez. Leurs manières de gérer, de penser, de se tenir debout devant une idée ou simplement le fait d’être plus curieuse qu’un homme.
Par contre, si l’on parle dû fait que ce soit inacceptable pour une femme de se joindre aux Forces armées canadiennes dû faites qu’elle soit mère. La réponse à ce commentaire serait que la femme a, pendant trop longtemps été associé à quelqu’un qui s’occupait des enfants à la maison, qui pense toujours la même chose que sont mari, qui fait le ménage et à mangé. Et le mari lui, à une personne qui à un boulot, et qui rentre de la maison qui veut que son souper soit prêt. Et en plus, il faudrait qui endure le personnage d’héros. (Maman aussi voudrait peut-être être héroïne!!!) Nous avons évolué comme société nous sommes rendus à un point t’elle que la femme a le droit de se chercher un emploi, n’importe quel emploi. Nous somme conscient que les Forces armées canadiennes doivent faire amplement d’entrainement, déploiement… Mais la mère est perçue principalement par la société comme une personne qui doit être là pour ses enfants, mais le mari, par contre, à le droit de s’absenter quand il veut, pourvue que ce soit pour le travail. Mais pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas être le tour de la maman pour une fois? Il faut arrêter de donner tous aux hommes. Et commencer à se préoccuper de nous, les femmes.
L’OTAN et l’ONU sont deux grandes organisations importantes au monde. L’OTAN a commencé à reconnaître les femmes dans les armées durant la guerre froide. Il était rendu évident après la Deuxième Guerre mondiale que les femmes étaient là pour rester. Évidemment, l’OTAN considère que la femme a le même statut que l’homme, par contre, il faut lui donner du temps à s’habituer à la « nouveauté ». C’est pourquoi, si l’on regarde tous les pays de l’OTAN, les femmes font une entrée progressivement. Par contre, tous pays n’avancent pas moralement en même temps, c’est pourquoi, les femmes militaires au sein des armées qui participe a des missions de l’OTAN on de la difficulté parfois due au fait que les pays ne sont pas rendus tous au même stade. Également, il existe des « dinausaures[13] » Qui ne veut rien savoir du changement et continu à s’entêter que les femmes n’ont pas leurs places. Exemple très simple :
Dans le cadre d’une mission multinationale, comme l’Afghanistan, l'OTAN les responsables militaires de l'OTAN, en raison des réactions variées que suscite la présence d'une femme un poste de commandement supérieur. Certaines forces internationales trouveront cette situation normale et suivront les instructions sans problèmes, alors que d'autres pourront mettre en cause l'autorité d'une femme en fonction, risquant alors de créer une situation de conflit interne tant que l'autorité ne sera pas fermement établie.[14]
Ainsi, l’OTAN stipule « Ne pas accepter les femmes des postes élevées ou comme des égales, c'est ne pas savoir tirer pleinement parti des effectifs militaires de l’OTAN. »[15] Ainsi, l’OTAN stipule « Ne pas accepter les femmes des postes Et donc, l’OTANT est pleinement en faveur des femmes au sein des armées, mais assure que plus soit être fait pour assurer le bon déroulement de tous les opérations militaires.
L’organisation des Nations Unies (ONU), tant qu’à elle, subit différent développement. En juin 2000, à la conférence de « Beijing +5, les gouvernements se sont engagés à assurer la pleine participation des femmes à tous les niveaux de la prise de décision dans les processus de paix, de maintien et de consolidation de la paix. Ou comme des égales, c'est ne pas savoir tirer pleinement parti des effectifs militaires de l’OTAN. »[16] Et donc, les femmes peuvent être dans n'importe quelles missions, peut-être n’importe quels rangs, elles ont droit de participer aux missions de paix de l’Organisation des Nations Unies (ONU). « En octobre 2000, Le Conseil de sécurité adopte la résolution 1325 (2000) qui examine l'impact de la guerre sur les femmes et souligne l'importance de la participation des femmes dans tous les aspects des opérations de maintien de la paix de l'ONU. » Donc non seulement l’ONU stipule qu’elles ont accès aux opérations, mais également elle avoue que les femmes ont une grande importance auprès des opérations. Si l’ONU le dit, c’est que ça doit être vrai! D’habitude les États suivent majoritairement l’ONU. Et donc, elle a dit que les femmes sont importantes dans les opérations, et bien que tout le monde suit l’ONU!!!
Le Canada n’est pas le seul à accepter les femmes dans ces rangs militaires. Au contraire, la plupart des pays développés socialement ont les femmes à leurs bords. Par exemple, les femmes sont plus de 12.8% des forces armées en Australie. Par contre, elles ne peuvent pas servir dans l’infanterie, Artillerie et dans d’autres secteurs de débat extrême. Le même modèle est remarqué au Royaume-Uni, par contre, eux compte seulement 9% d e femmes. Au Danemark, on compte 5% des femmes au sein de leur armée. On constate alors que la Défense nationale ne font pas de promotion pour que les femmes obtiennent du leadreship. Leur évaluation physique est totalement différente des sexes. On constate alors un revirement de situation en Érythrée, ou on aperçoit plus de 25% de femmes au sein de leurs armées!!! Mais nous apercevons un revirement en France tandis que ce merveilleux pays accepte les femmes, dans tous les postes, incluant l’infanterie… Par contre, elles ne sont pas encore autorisées à servir dans les sous-marins. La Libye quant à elle est la seule nation islamique a accepter les femmes au sein de l’armée, par contre, nous ne savons pas combien elles sont et les postes ouverts. Nous voyons donc, le développement de chaque pays. Une chose est sur, c’est qu’il continura d’avoir du développement parmi c’est pays.[17]
Ainsi, nous avons pu voir la différence entre autrefois et aujourd’hui par rapport aux femmes dans les Forces armées canadienne. Nous avons vu que plusieurs choix pouvaient influencer la femme à se joindre à l’armée. Par contre, il est toujours utile d’avoir des femmes au sein de cette institution pour pouvoir donner leur point de vu qui est souvent différent de celui des hommes. Nous avons vu également, que le Canada est un des peu nombreux pays à être si ouvert par rapport à la femme au sein des armées à travers le monde. Soyez fier d’être Canadien!
Bibliographie
Périodique
MUNN, Edwidge, «les canadiennes en uniforme (1939-1945) », Cap-aux-diamants , Automne 1995, p. 46-49
Livre
BERNIER, Serge, Le patrimoine militaire canadien d’hier à aujourd’hui tomme III (1872-2000), Montréal, Art Global, 2000, 251p.
CAIRE, Raymond, la femmes militaire, Paris, Lavauzelles, 361p.
DUNDAS, Barbara, les femmes dans le patrimoinse militaire canadien, Montréal, Art Global et ministère de la Défense en collab. Avec le ministère des travaux publics et services gouvernementaux Canada, 2000, 156p.
DUNN, Jason, Women in combat arms: A question of attitudes, Ottawa, Université d’Ottawa, 1999, 120p.
CAIRE, Raymond, la femmes militaire, Paris, Lavauzelles, 361p.
Site internet
CBC, Canada’s military Women in the Canadian military, http://www.cbc.ca/news/background/cdnmilitary/womencdnmilitary.html, dernière mise à jours le30 mai 2006, date de consultation le 25 mars 2008
HARRIS, Marcelite, la reconnaissance du rôle des femmes parmi les forces militaire de l’OTAN, http://www. nato.int/ docu/revue/1997/9705-08.htm, consulté le 4 avril 2008
LLOYD, Jane, Les femmes agents de la paix Elles font la différence, http://www.un.org/french/pubs/chronique/2006/numero1 /0106p06.htm, Site web consulté le 4 avril 2008
Ministère de la Défense nationale, À quoi s’attendre, http://www.skyhawks. forces.gc.ca/lf/ Français/1_3_1_5.asp, dernière mise à jours le 28 mars 2007, date de consultation le 27 mars 2008
Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
Wikipédia, history of women in the military, http://en.wikipedia.org/wiki/Military_women, , Dernière modification le 30 mars 2008, Site web consulté le 5 avril 2008
[1] DUNDAS, Barbara, Les femmes dans le patrimoine militaire canadien, Art Global, Montréal, 2000, 157p.
[2] MUNN, Edwidge, «les canadiennes en uniforme (1939-1945) », Cap-aux-diamants , Automne 1995, p. 49
[3] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn.ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[4] Ibid.
[5]CBC, Canada’s military Women in the Canadian military, http://www.cbc.ca/news/background/cdnmilitary/women-cdnmilitary.html, dernière mise à jours le30 mai 2006, date de consultation le 25 mars 2008
[6] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[7] Ibid.
[8] Aujourd'hui, les femmes sont acceptées à bord des sous-marins, à l’exception d’une sorte qui ne peut abriter deux sexes. Également, l’aumônier reste un titre masculin. Aumônier est le même poste que prêt, par contre il sert dans les Forces armées canadiennes.
[9] Ministre de la Défense nationale, les femmes dans l’histoire des Forces canadiennes du Canada, http://www.mdn. ca/hr/cfpn/frgraph/2_05/2_05_iwd_f.asp, dernière mise à jours le 24 mars 2008, date de consultation le 25 mars 2008
[10] Lorsqu’elle s’est adressée à une classe d’étudiants en science politique femme et le pouvoir le 25 mars 2008, à l’université de Moncton, campus d’Edmundston
[11] Ibid.
[12] Ministère de la Défense nationale, À quoi s’attendre, http://www.skyhawks. forces.gc.ca/lf/ Français/1_3_1_5.asp, dernière mise à jours le 28 mars 2007, date de consultation le 27 mars 2008
[13] Terme pris du questionnaire d’un militaire. (questionnaire numéro 3)
[14] HARRIS, Marcelite, la reconnaissance du rôle des femmes parmi les forces militaire de l’OTAN, http://www. nato.int/ docu/revue/1997/9705-08.htm, consulté le 4 avril 2008
[15] Ibid.
[16] LLOYD, Jane, Les femmes agents de la paix Elles font la différence, http://www.un.org/french/pubs/chronique/2006/numero1/0106p06.htm, Site web consulté le 4 avril 2008
[17] Wikipédia, history of women in the military, http://en.wikipedia.org/wiki/Military_women, , Dernière modification le 30 mars 2008, Site web consulté le 5 avril 2008
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